Passer au contenu

Movie Mail, du rich media dans les e-mails promotionnels

Triptikfilms agrémente les publipostages électroniques de vidéos diffusées en streaming. La facturation s’établit à la séquence visualisée.

Face à la généralisation des campagnes de marketing viral, l’enjeu est de retenir l’attention de l’internaute. La société Triptikfilms propose aux entreprises de concevoir, avec Movie Mail, des campagnes particulièrement attrayantes : en s’ouvrant, l’e-mail déclenche automatiquement une séquence vidéo diffusée en streaming.”Grâce au streaming, l’e-mail ne pèse que 6 à 8 Ko. De plus, le serveur vidéo adapte le débit de la vidéo à la connexion Internet du destinataire“, explique Salima Seghir, directrice du marketing chez Triptikfilms. La lecture de la vidéo, codée au format Real, nécessite cependant le téléchargement du plug-in correspondant sur le poste de l’internaute.
Les séquences, d’une durée maximale de 3 minutes, sont diffusées par les serveurs hébergés chez l’opérateur KPNQwest. Les contenus vidéo sont, quant à eux, fournis par l’entreprise cliente ou réalisés par l’équipe de tournage de Triptikfilms, qui peut aussi se charger de l’encodage.

Une communication interactive

Movie Mail reprend la plupart des fonctions classiques de gestion de campagnes. Un champ à côté de la fenêtre vidéo permet, par exemple, de recueillir les commentaires de l’internaute ou ses réponses à un questionnaire.Fonction intéressante, un autre champ est destiné à recueillir l’adresse e-mail de ” l’ami ” auquel le premier destinataire peut transférer le message : elle est alors récupérée par la plate-forme Movie Mail pour repérer les réseaux de connaissances et enrichir une base de données marketing.L’entreprise cliente doit s’acquitter d’un ticket d’entrée de 1 052 ? ht (6 990 F), auxquels s’ajoute un coût unitaire, mais dégressif, par séquence vidéo visualisée.Pour une campagne limitée à moins de 10 000 séquences vidéo lues, ce coût unitaire est de 0,15 ? ht (1 F).

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Thomas Pimont