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La télévision de rattrapage est pour moitié constituée de JT

EN BREF. Depuis octobre 2010, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) a mis en place un baromètre mensuel concernant l’offre française de télévision de rattrapage (TVR)…

Depuis octobre 2010, le Centre national du cinéma et de l’image animée (CNC) a mis en place un baromètre mensuel concernant l’offre française de télévision de rattrapage (TVR), ou catch-up TV. Il est réalisé par le site TV-Replay.fr. En décembre dernier, le nombre de programmes disponibles se serait monté à 17 000, contre 15 000 en octobre et 16 000 en novembre (ce qui représente, selon le CNC, près de 5 900 heures de programme).

Plus d’un internaute sur deux regarde la TV de rattrapage

Le baromètre fait ressortir que journaux télévisés et émission de flux composent l’essentiel des contenus proposés (avec respectivement 50 % des vidéos par mois en moyenne au dernier trimestre 2010, et 42,4 %). Documentaires, animation, fiction et cinéma ne représentent, eux, que 7,5 %. C’est Arte qui présente l’offre de documentaires la plus riche (65,3 % de l’offre totale) devant France 5 (21,7 %). Côté fiction, c’est M6 qui occupe la place de leader (24,9 %) devant TF1 (19,6 %) et France 2 (12,9 %). C’est Gulli qui propose le plus de contenus animés (32,8 %).

Les services de télévision de rattrapage commencent à se répandre sur les boîtiers TV des FAI, à l’image de MyTF1, disponible depuis quelques jours sur la Freebox. Pour l’instant, l’ordinateur reste le moyen de visionnage numéro un (78,7 %) de la télévision de rattrapage, devant le téléviseur (42,6 %) et le mobile (6,4 %). Selon le baromètre, plus d’un internaute sur deux a aujourd’hui recours à ce mode de consommation. Et ceux qui en sont friands sont enclins (36 %) à regarder des programmes par ce biais au moins une fois par semaine.

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La rédaction