Cet accessoire se branche, tout simplement, sur le connecteur situé en bas des Palm III (IIIc, IIIx, IIIxe, etc. ). Pour piloter le Palm Pix, il faut installer sur l’organiseur un petit programme livré sur CD via un PC. L’opération prend à peine quelques secondes. Une première pression sur le bouton Agenda du Palm lance la prévisualisation de la prise de vue sur l’écran du Palm (qui sert alors de viseur). Une seconde pression déclenche la prise de vue.On a le choix entre deux définitions pour les photographies : 320 x 200 ou 640 x 480 points. Les images sont d’assez bonne qualité. Cela dit, il faut faire attention à rester immobile lorsqu’on déclenche la prise de vue, sinon la photo est floue. Autre problème, l’appareil n’est pas équipé d’un flash et se révèle donc inutilisable dans une pièce sombre, par exemple. De petite taille, le Palm Pix se transporte aisément dans la poche. Et comme il ne pèse que 45 grammes, sans les deux piles LR03 nécessaires à son alimentation, il se fait facilement oublier.Malgré cet encombrement réduit, l’appareil est un peu cher. Vendu 1390 francs, il coûte à peine 300 francs de moins que l’ ePhoto CL780c, d’Agfa, qui, lui, est un appareil photo numérique à part entière. Nous le recommandions alors pour son excellent rapport qualité prix. En outre, l’ePhoto CL780c est doté d’un flash et propose un mode rafale qui fait défaut au Palm Pix. Un peu cher, donc, pour un gadget
L’avis de la rédaction
On aime
– La légèreté, le faible encombrement, la facilité d’utilisation.
On n’aime pas
– L’absence de flash, le prix, le temps de pose un peu long.
Mention Assez bien
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