Passer au contenu

Deux portables puissants grand public chez Compaq

Les nouveaux Presario 16-XL256 et 18-XL191, désormais en couleur, sont animés tous les deux par un Pentium III à 650 MHz. Ils arrivent en août.

Avec ces deux nouveaux modèles, Compaq renforce ainsi le haut de gamme de ses portables grand public, qui jusqu’à présent reposait sur le processeur Pentium III 600 MHz. S’intégrant parfaitement à la nouvelle ligne Presario, ses deux nouveaux portables, animés par un Pentium III 650 MHz, s’affichent en bleu nuit tandis que la coque de leur écran est gris bleu.Le moins cher, le Presario 16-XL256 s’affichera à 18 990 francs à sa sortie. Pour ce prix, il intègre 64 Mo de mémoire vive, un disque dur de 6 Go. Multimédia, il dispose d’un lecteur de DVD 6x (le lecteur de disquette est également intégré), un modem 56K et d’une sortie TV. L’affichage tient sur un écran à matrice active (TFT) de 14,1 pouces. Et l’autonomie de ce modèle repose sur des batteries Li-Ion.Sur ce terrain, le second modèle, le Presario 18-XL191 semble mieux loti. Et pour cause, il bénéficie, en plus, de la technologie Speedstep assujettie à son processeur. Il se distingue aussi par son écran de plus grand taille, 15 pouces, et de meilleure qualité (SXGA TFT). En outre, sa mémoire vive et son disque dur sont deux fois plus importants que ceux du modèle précédent. Côté multimédia, quasiment pas de différence. Et si on considère sa carte réseau intégrée et sa puissance, ce second modèle dispose de sérieux atouts pour remplacer un ordinateur de bureau.
Tous ses petits plus font que, par rapport au modèle précédent , le Presario 18-XL191, il coûte 5 000 francs de plus, soit un total de 23 990 francs. Autre conséquence et non des moindres, il est aussi plus encombrant et pèse 3,5 kg contre 2,3 kg pour le Presario 16-XL256.
En ce qui concerne loffre logicielle , elle comprend principalement Windows 98, Word 2000 et Works 2000 pour ces deux nouveaux portables.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Thierry Virolan