Après l’abandon de la reprise de l’éditeur Inprise et, luttant depuis pour se redresser financièrement, l’éditeur canadien de WordPerfect va donc diminuer ses effectifs de 21 %. Aucun de ses départements ne sera épargné, tandis que son PDG, Michael Cowpland, a décidé de se passer de salaire.N’ayant jamais réussi à se faire une place suffisante dans le monde Windows, l’éditeur essaye de trouver son salut dans Linux. Le projet d’acquistion d’Inprise (ex-Borland), outre qu’il lui apportait un trésor de guerre de près de 240 millions de dollars, devait lui permettre d’afficher un catalogue logiciel complet : du système d’exploitation à la suite bureautique, en passant par les outils de développement.Oui mais. Faute d’une santé financière suffisante, Corel va devoir attendre encore pour espérer faire un peu dombre à Microsoft. Même si ce dernier devait un jour être coupé en deux.
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