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Baltimore SelectAccess gère les droits des utilisateurs

La gestion des droits attribués aux utilisateurs est le cauchemar de l’administrateur réseau. Baltimore lance sa solution SelectAccess pour s’attaquer au problème.

Dès qu’il s’agit d’administration des droits des utilisateurs, les aides sont précieuses. À l’instar d’Entrust, avec GetAccess ; ou de Netegrity, avec SiteMinder, Baltimore a mis au point un logiciel dédié à cette tâche.SelectAccess est une PMI (Privilege management infrastructure), une interface d’administration des droits des utilisateurs, respectant la politique sécurité prédéfinie par l’entreprise concernée.

Un logiciel évolutif

“La différence entre SelectAccess et les autres produits du marché provient de la façon dont on peut gérer les privilèges des utilisateurs (par groupes, dans un département ou par utilisateurs). Il est aussi possible de l’interfacer avec une infrastructure à clé publique (PKI), et de gérer les certificats numériques. Enfin, avec notre logiciel de filtrage de contenu MIMESweeper, la sécurité des messages entrants est assurée “,souligne Rishi Garrod, consultant technique pour Baltimore Technologies.SelectAccess permet de créer et d’administrer visuellement la politique d’autorisation de l’entreprise en fonction de sa politique de sécurité. Seuls trois critères graphiques sont retenus : accès autorisé, accès refusé ou accès conditionnel. L’outil est évolutif et peut gérer un nombre quasi infini d’utilisateurs. Il est aussi possible de déterminer, au sein d’un groupe, la personne qui pourra définir et administrer les droits d’un sous-groupe d’utilisateurs.Les profils utilisateurs, ainsi que les informations et données associées sont stockés dans un répertoire de règles de sécurité, spécifique au bon fonctionnement de la PMI. Cette interface tourne aussi bien sous Windows NT et Sun Solaris que sous Red Hat Linux. Enfin, elle s’appuie sur les standards techniques du marché pour les requêtes (XML, Extensible markuplanguage), le stockage des informations (LDAP, Lightweight directory access protocol) et les certificats numériques (X.509).

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Renaud Hoffman