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Angell : nos premiers tours de roue avec le vélo électrique connecté français

Plus d’un an après son officialisation, le vélo connecté de Marc Simoncini arrive enfin. Angell, c’est son nom, est un VAE taillé pour la ville. Son écran intégré et son poids réduit (13,8 kg) en font l’un des vélos électriques les plus ambitieux du moment. Nous l’avons pris en main.

C’est probablement le vélo électrique le plus attendu de l’année et un concurrent direct pour le VanMoof S3 ou encore le Cowboy 3. Les premiers exemplaires d’Angell, le vélo électrique et connecté made in France, seront livrés à la fin du mois de juillet. Nous avons eu la chance de le prendre en main quelques jours avant sa sorite, et d’avoir un premier aperçu des ses performances mais aussi des capacités de son application et de sa partie connectée.

Dimitri Charitsis – 01 Net – L’écran intégré au guidon est un plus pour la navigation.

Son design, imaginé par Ora Ito, le classe déjà parmi les vélos les plus stylés du moment. Le cadre très travaillé, aux soudures polies est marqué par un soin du détail appréciable et une qualité de finitions impeccable. Concrètement, on ne passe pas inaperçu à bord d’Angell et il n’a fallu que quelques kilomètres pour se faire interpeller par des passants intrigués.

Ultra connecté

Mais l’esthétique n’est pas le seul atout d’Angell : le vélo connecté dispose d’une connectivité bien au-dessus de la moyenne qui repose en partie sur un écran intégré de 2,4 pouces. Situé en plein centre du guidon, il permet d’avoir un aperçu de toutes les fonctionnalités de son VAE mais aussi de bénéficier de la navigation. Le vélo intègre également une alarme, un GPS qui permet de le localiser en cas de vol, mais aussi un gyroscope et un accéléromètre qui lui permettent de mesurer l’inclinaison de la route mais aussi de détecter les chutes. 

Dimitri Charitsis – 01 Net – La batterie en forme de U du vélo Angell.

Enfin, en termes de conduite, Angell permet de naviguer entre quatre niveaux d’assistance et trois modes de conduite différents. Quant à sa batterie, elle se situe à l’arrière, ne pèse que 2 kg et se retire en cas de besoin. Selon le constructeur, son autonomie pourrait atteindre 70 km.

Clignotants intégrés = plus de sécurité

Après quelques kilomètres parcourus en Angell, il est déjà permis d’affirmer qu’il s’agit d’un vélo très agréable à conduire. Son poids (parmi les plus faibles du marché) n’est pas étranger à cette sensation, tant le VAE est maniable en comparaison d’un vélo électrique classique. Les différents niveaux d’assistance sont très marqués et la différence est flagrante entre un mode « Fly Eco » qui met les jambes à l’épreuve et le mode « Fly Fast » qui envoie le couple maximum immédiatement, quitte à surprendre. Enfin, l’intégration des clignotants sur les extrémités du guidon et à l’arrière sont un plus indéniable en matière de sécurité. 

Si nos premières impressions sont bonnes et confirment l’énorme engouement dont bénéficie Angell, il conviendra tout de même de tester le VAE sur la longueur. On vous donne donc rendez-vous dans quelques jours sur 01Net.com pour le test complet. 

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Dimitri Charitsis