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3e : Glory of the Roman Empire

Si ce titre bénéficie d’un graphisme 3D réussi, il souffre d’un manque de souplesse et de finesse.

Comme dans CivCity Rome, le joueur dispose ici d’un seul type d’habitation. Les demeures évoluent en fonction d’éléments qui doivent être situés dans un rayon délimité. Un manque de souplesse qui relève du casse-tête, les routes
ne servant ici que d’ornements. Les missions, qui débutent dans des villes déjà construites, sont proposées selon un ordre censé permettre de se familiariser avec les principes du jeu. Leur intérêt est hélas inégal, certaines se limitant à la
construction d’un seul bâtiment. De plus, l’aspect financier n’est primordial que pour quelques aspects, la possibilité de bâtir dépendant des ressources naturelles (bois, argile, pierre, etc.) disponibles. Moins abouti qu’un Cæsar, le jeu profite
d’un graphisme 3D réussi, mis en valeur par un écran principal dépouillé.

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Olivier Lapirot