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Igol Bretagne Anjou renouvelle son système de gestion

Le fabricant et distributeur de lubrifiants s’est équipé d’un progiciel de gestion intégré. Il a opté pour tous les modules de ce dernier et a procédé à plusieurs réaménagements informatiques.

Pour son nouveau système de gestion, la PME Igol Bretagne Anjou utilise, depuis janvier 2001, le progiciel de gestion intégré Cimsup, dont elle a pris tous les modules : gestion commerciale, des achats, des stocks, de la production… Le distributeur de lubrifiants, disposait depuis vingt ans d’un outil développé en interne. Mais il souhaitait le moderniser. Le choix de Cimsup a été arrêté en 1999. Puis les études et le travail de reprise de données de l’ancien système ont été lancés. La fin 2000 a vu l’achèvement de l’ensemble. Igol Bretagne Anjou a, dans la foulée, renouvelé son installation informatique. Et, s’étant équipé en 1998 d’une comptabilité de l’éditeur Sage, il a fait réaliser par ce dernier l’interface entre les deux systèmes.

Automatisation des demandes d’approvisionnement

Condition sine qua non du choix de l’éditeur pour la société : s’assurer le développement, par Cimsup, de modules spécifiques en plus de ceux existants ?” notamment en gestion commerciale. “Le contrat d’avances sur ristournes, par exemple, est caractéristique du marché des lubrifiants, explique Jean-François Grilliat, informaticien chez Igol Bretagne Anjou. On le trouve aussi dans le secteur des brasseries. Ce type de contrat permet d’accorder aux clients des avances sous forme de prêts financiers ou de mise à disposition de matériel. Elles sont amorties par les ristournes à venir sur les ventes de lubrifiants.”Le nouvel outil permet encore d’automatiser les demandes d’approvisionnement. D’un côté, les matières premières sont commandées à Igol France, pour la production de lubrifiants. De l’autre, les produits finis de l’usine de Rezé sont transférés aux agences. Cette procédure, dans son ensemble, n’était pas encore totalement opérationnelle à la fin de l’année dernière. Elle a nécessité des mises au point dans le contrôle des flux de produits. Ces ajustements attendus se sont, par ailleurs, accompagnés d’un allégement de la charge de travail des vingt personnes utilisant le logiciel.Il est déjà prévu d’étendre le projet. “Nous devrions développer un système de communication avec les vingt-huit représentants sur le terrain “, mentionne Michel Six, directeur du projet et directeur financier de la PME.

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Arnaud Devillard