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Business en bref

Slate à vendre – Michel Bon trouve un siège chez Esmertec – L’ART réticente à de nouvelles baisses sur l’ADSL…

Slate à vendre

Il y a huit ans, Michael Kinsley, ancien journaliste à Time Magazine créait Slate, l’un des premiers titres emblématiques de la presse en ligne, avec le concours d’un actionnaire quelque peu
inattendu : Microsoft. Aujourd’hui le site revendique près de cinq millions de lecteurs, mais n’enregistre toujours pas de bénéfices substantiels. Résultat : Microsoft chercherait désormais à se séparer de Slate et de
sa trentaine de collaborateurs. Selon Reuters, la mise en vente est effective et cinq ou six candidats sont intéressés. Cependant, s’il souhaite se défaire de Slate, Microsoft y aurait mis une condition : que le magazine en
ligne ne coupe pas tous les ponts avec MSN, la division Internet de Microsoft qui édite par ailleurs MSNBC.com.

Michel Bon trouve un siège chez Esmertec

L’ancien PDG de France Télécom, Michel Bon, a été nommé au conseil d’administration de la société spécialisée dans les développements Java pour la téléphonie mobile. Fin 2003, l’éditeur suisse avait levé 23 millions d’euros auprès
d’investisseurs privés.

L’ART réticente à de nouvelles baisses sur l’ADSL

France Télécom a soumis en juillet à l’Autorité de régulation des télécommunications (ART) une révision des tarifs de gros des accès haut-débit pratiqués à l’attention des autres FAI. Des baisses proposées par l’opérateur, l’ART ne
retient que celle de 22 % concernant le 2 048 kbit/s, ce qui devrait avoir une incidence sur les prix proposés aux consommateurs. L’Autorité rejette en revanche celles visant le 512 kbit/s (6 % moins cher) et le
1024 kbit/s (15 %), au motif qu’elles perturberaient trop l’équilibre économique du marché. Les tarifs de gros de ces types daccès ne sont pas appelés à changer avant le début 2005.

Infineon étoffe sa garde-robe

Le spécialiste des semiconducteurs américain poursuit son aventure dans la mode. Après une
première collaboration avec l’équipementier sportif O’Neill, il a présenté, en partenariat avec le fabricant de vêtements allemand Rosner, un veston pour la ville. Le
principe reste le même. Un clavier ‘ tissé ‘ dans la manche permet de piloter l’électronique dissimulée dans le vêtement : un baladeur MP3 et un kit mains-libres Bluetooth pour téléphone mobile. Les oreillettes et le micro se
cachent dans le col de la veste. Le passage en machine est prévue. Il suffit de débrancher un petit module électronique, incluant la batterie, pour éviter de l’endommager au lavage.

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La rédaction