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9 appareils pour tricher à l’examen

Devoir sur table ? Epreuve du bac ? A vous de choisir l’équipement le mieux adapté à vos besoins, à vos possibilités… et à bien évaluer les risques. N’oubliez pas que toutes les méthodes présentées ici sont illégales !

L’organiseur

Peu utilisé par les collégiens et les lycéens, c’est en revanche le complice des étudiants, qui peuvent stocker dans sa mémoire jusqu’à 1 500 mémos (sur un Palm V, par exemple). De plus, la synchronisation avec le PC permet de saisir ses cours à l’aide d’un vrai clavier.

Le dictionnaire électronique

Certains modèles Lexibook ou Franklin parlent 6 langues ! À réserver aux interrogations écrites de langues vivantes ou pour préparer l’oral du bac (les candidats ont une quinzaine de minutes entre le moment où le sujet leur est donné et celui où ils “planchent“). Il existe également des dictionnaires électroniques de français pour les dictées.

Le téléphone mobile

Il y a plusieurs méthodes. La plus complexe consiste à créer un site WAP intégrant tout ou partie d’un cours et à s’y connecter avec son téléphone portable, à condition qu’il accepte cette norme. La plus simple est de recourir aux SMS : soit on enregistre ses antisèches sous forme de messages courts dans le répertoire du téléphone, soit on envoie les questions par SMS à un complice à l’extérieur, qui répond de la même manière. Attention à supprimer la sonnerie.

La montre-agenda

On trouve chez Casio, Fossil ou Timex des montres-répertoires qui permettent de stocker une centaine de noms et des textes très courts. Casio commercialise aussi une montre qui prend et stocke des photos. Pourquoi pas de vos cours ?

La calculatrice programmable

Sur les calculatrices scientifiques comme la TI-92+, de Texas Instruments, on peut stocker aussi bien des textes que des images, pour les consulter ensuite l’air de rien. On peut ainsi saisir l’intégralité de ses cours sur un PC, puis transférer ce dont on a besoin sur la calculatrice, à l’aide d’un simple câble de connexion, vendu en option.

Le baladeur à disque dur

La solution pour ceux qui n’ont pas de graveur. Ils enregistrent leur antisèche sur le PC (au format MP3) puis la téléchargent sur le baladeur, muni, comme il se doit, d’oreillettes. Il n’y a plus qu’à écouter.

Le lecteur de CD

L’idée consiste à enregistrer vocalement ses cours à l’aide d’un PC muni d’un micro, puis à les graver sur un CD-ROM. Si vous disposez d’un lecteur de CD MP3, c’est encore mieux : vous pourrez stocker 10 fois plus d’informations grâce à la compression des données. Ensuite, il faut s’accrocher discrètement le lecteur à la taille et glisser l’écouteur-oreillette sous un pull à col roulé.

Le dictaphone

L’avantage par rapport au baladeur, c’est qu’il n’y a plus besoin de PC, ou de graveur. Il suffit d’enregistrer directement sur le dictaphone, pour ensuite les réécouter à l’aide des oreillettes. Si le dictaphone est numérique (à disque dur), l’accès aux plages est très facile. Un vieux walkman à cassettes peut aussi faire l’affaire, mais gare au bruit du mécanisme interne.

Le lecteur de MiniDisc

Le procédé ne repose pas sur la voix mais sur le texte, grâce à la télécommande du lecteur. L’astuce consiste à saisir ses antisèches à la place des titres des chansons (99 pistes de 256 caractères). Ensuite, il suffit de faire défiler ces titres sur la télécommande. Préférer les modèles permettant de contrôler la vitesse de défilement.

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Laurence Beauvais