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Test : Wiko Rainbow Up 4G, le meilleur rapport qualité/prix de la rentrée

Ce Rainbow n’est pas une promo de rentrée mais bien une véritable nouveauté. Et il offre pour seulement 150 euros un équipement et des performances hors pair.

L'avis de 01net.com

Wiko Rainbow Up 4G

Autonomie & charge

2.5 / 5

Affichage

3 / 5

Photo & vidéo

2.5 / 5

Appréciation générale

4.5 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 10/09/2015

Voir le verdict

Fiche technique

Wiko Rainbow Up 4G

Système Android 5.1
Processeur MTK MT6735
Taille (diagonale) 5 "
Résolution de l'écran 294 ppp
Voir la fiche complète

Wiko Rainbow Up 4G : la promesse

Succédant au Rainbow 4G lancé il y a quelques mois, le Rainbow Up 4G conserve de prime abord un équipement similaire à celui de son aîné. Ecran 5 pouces HD, processeur quatre cœurs à 1 GHz, capteur photo de 8 mégapixels… rien ne semble vraiment avoir changé ! Même le prix de ce Up reste similaire à celui de la première mouture. Pourtant, il recèle quelques très bonnes surprises, découvertes à l’occasion de notre test.

Wiko Rainbow Up 4G : la réalité

Pour un modèle à 150 euros, le Wiko Rainbow Up 4G n’a rien à envier en termes de design à des modèles parfois commercialisés deux fois plus cher. Le boîtier n’a rien d’incroyablement original mais le niveau de finition est soigné et la finesse au rendez-vous avec à peine plus de 8 mm d’épaisseur.

Avec son dos en gomme lisse, l’appareil se fait par ailleurs très agréable sous les doigts même s’il s’avère un peu glissant à l’usage. Wiko ajoute deux petites touches « sophistiquées » : un fin cerclage façon métal et des bordures d’écran un chouia plus fines que celles du premier Rainbow. Pour réussir cet exploit, la marque a dû faire une concession. La batterie n’est plus amovible. En revanche, le mobile dispose de deux emplacements pour MicroSIM et d’un lecteur de cartes MicroSD.

Du répondant pour les usages standards

On se doute que pour son prix, le Up n’est pas une machine de guerre prête à en découdre avec les jeux 3D les plus gourmands en ressources. Avec son petit processeur Mediatek quatre cœurs à 1 GHz couplé à 1 petit Go de Mémoire vive, ce modèle reste surtout dédié aux usages basiques, sans trop abuser du multitâche. En revanche, dans ce cadre, la fluidité de navigation donne satisfaction et l’appareil est globalement plutôt réactif. Comme sur le précédent Rainbow, la compatibilité 4G est au programme. Pratique pour profiter à fond du web. Enfin, ce smartphone fait partie des trois premiers modèles de Wiko à fonctionner avec la dernière version d’Android (5.1). On retrouve la surcouche récente de la marque, assez légère et dépourvue de menu des applications.

Une qualité d’affichage au top

Ce qui pêche sur les smartphones à petit prix, c’est habituellement la qualité de l’écran. Avec le Up, la surprise a donc été de taille. L’écran HD de 5 pouces offre une résolution satisfaisante de 294 points par pouces mais surtout affiche une excellente luminosité de 518 cd/m² et un contraste exceptionnel de 1523 :1. Du jamais vu à ce niveau de prix et un grand avantage pour l’utilisateur, surtout dans le cadre d’une utilisation en extérieur.

L’autonomie d’un smartphone haut de gamme

La deuxième mauvaise surprise sur les modèles low cost concerne l’autonomie, généralement très mauvaise. Là encore, ce Rainbow nous a littéralement bluffés avec des endurances excellentes. Nous avons ainsi relevé 19h15 en appel, 12h40 en surf 4G et 11h15 en lecture vidéo. Mieux encore, en autonomie polyvalente (plus exigeante en ressources), le mobile passe la barre des 9 heures, rentrant ainsi dans notre top 10 des smartphones les plus endurants du marché.

Un peu faiblard en photo/vidéo

Il fallait bien qu’il y ait un défaut sous la cuirasse du Rainbow Up et c’est la photo, sans que ce soit pour autant catastrophique.

Très acceptables par bonnes conditions de luminosité, si l’on va pas trop chercher dans le détails, les clichés dégringolent en qualité dès que la lumière baisse. Mal stabilisées, les vidéos sont, elles, pixélisées et saccadent un peu trop à notre goût. Pas de franc gain de qualité face au premier Rainbow équipé lui aussi d’un capteur 8 mégapixels. Précisons, en revanche, que pour les selfies, on est passé de 2 à 5 mégapixels.

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