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Test : Diamond Tears, un casque tape-à-l’oeil, mais au son agréable

Le casque pliable de Monster affiche un look extravagant mais offre un son correct et une très bonne isolation. Dommage qu’il ne donne pas plus de présence aux basses et aux aigus.

L'avis de 01net.com

Monster Cable Diamond Tears

Confort et autonomie

3 / 5

Qualité audio

3.5 / 5

Appréciation générale

3 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 30/01/2013

Voir le verdict

Fiche technique

Monster Cable Diamond Tears

Modèle Serre tête
Restitution du son Stéréo
Type de coussinets Supra-aural
Système actif de réduction du bruit Non
Poids (avec cordon et piles) 250 g
Voir la fiche complète

Monster Cable Diamond Tears : la promesse

Avec le Diamond Tears, Monster invente le casque « bijou » haut de gamme ! Chaque écouteur est décoré de facettes dont la couleur varie entre le bleu et le violet. Le constructeur livre même un liquide de nettoyage et un chiffon pour faire briller le tout. Le ramage vaut-il le plumage ? Nous l’avons testé.

Monster Cable Diamond Tears : la réalité

La conception du Diamond Tears fait hélas la part belle au plastique et donne au casque un aspect « toc » indigne de son prix élevé (environ 300 euros). Mais l’arceau est renforcé avec des parties métalliques. Bonne idée : une prise audio est présente sur chaque écouteur, ce qui vous permet de brancher un second casque et de profiter de la musique à deux. Monster livre pas moins de trois câbles audio, dont deux avec une télécommande avec micro pour prendre les appels ou suspendre la lecture d’un morceau de musique. Un câble est conçu pour les appareils Apple, l’autre s’adapte à la plupart des autres modèles, notamment les Galaxy de Samsung.

A fond les médiums !

Peu encombrant et pliable, le Diamond Tears bénéficie d’une pochette de transport en tissu. Il est plutôt agréable à porter, même si l’arceau est un peu dur, et isole très bien des bruits extérieurs. A l’écoute, la qualité sonore est bonne avec un son puissant, mais on regrette un manque d’aigus et des basses peu profondes. Cela passe plutôt bien pour le rock – les fans de Motörhead vont adorer – mais les amateurs de classique resteront sur le faim et les amateurs de RnB tendance Rihanna voudront plus de basses.

La mesure de la bande passante (de 35 à 18600 Hz) confirme que ce modèle met en avant les médiums, en particulier la zone de 400 à 3000 Hz qui constitue le sommet de la courbe des fréquences.

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