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L’esclave du vivant

A la barre de ses boutres, sur les eaux cristallines de la mer Rouge, Henry de Monfreid portait le nom d’Abd el Hai, l’esclave du vivant….

A la barre de ses boutres, sur les eaux cristallines de la mer Rouge, Henry de Monfreid portait le nom d’Abd el Hai, l’esclave du vivant. Cette région du monde, il l’a parcourue en tous sens pendant près de 40 ans au début du siècle dernier. Il y a exercé nombre de métiers plus ou moins recommandables, mais avec toujours un seul but : être libre. Pour rendre hommage à cet amoureux de la liberté et à son ?”uvre, ce site ‘ officiel ‘ retrace les grandes lignes de sa vie et nous révèle des aspects moins connus de cet aventurier-écrivain. On découvre ainsi qu’à ses heures perdues, Henry de Monfreid était photographe et peintre. Cette partie de son ?”uvre, on la trouve dans la rubrique Photo, où on se laisse aller à regarder défiler des clichés de la mer Rouge, d’Abyssinie ou du Yémen. Puis, dans la rubrique Peinture, ses aquarelles nous dépeignent ces contrées qui lui étaient si chères, avec, entre deux paysages, des portraits et des autoportraits émouvants. Enfin, le site propose une chronologie détaillée accompagnée de quelques photos. La rubrique Aventures est en construction, mais espérons quelle nous permettra bientôt de poursuivre le voyagewww.henrydemonfreid.com

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Ramon Alcaya