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Les 3 jeux indispensables pour la PlayStation Vita

Killzone MercenaryOh oh oh… Non, ce n’est pas le Père Noël qui est coincé dans la cheminée… C’est le bruit du joueur réjoui qui voit arriver…

Killzone Mercenary

Oh oh oh… Non, ce n’est pas le Père Noël qui est coincé dans la cheminée… C’est le bruit du joueur réjoui qui voit arriver un Killzone sur une console Sony. En vrac, par ordre d’apparition à l’écran : des graphismes splendides, des ennemis retors, une histoire en peau de lapin, un level design rodé, un plaisir certain à finir les ennemis au couteau, quitte à mourir derrière. Et ce ne sera même pas grave, parce que la jouabilité est au top et que c’est un plaisir de recommencer. On lui pardonnerait presque un côté déjà-vu, parfois, qui souligne un léger manque d’originalité. Pour autant, c’est un des meilleurs, si ce n’est le meilleur FPS 2013 de la PS Vita, alors… Il vous le faut !

 

 

Soul Sacrifice

Que faire face à un dilemme. Procrastiner ? Tirer à pile ou face ? Si vous ne savez pas quoi faire, faites le choix de Soul Sacrifice. Un jeu d’aventure sombre, lourd du poids des Enfers, qui vous propose en base d’un gameplay facile à adopter, de faire un choix difficile. Revenir à la vie en vampirisant un peu de la vie d’un allié ou mourir pour donner plus de pouvoirs aux combattants restants.

La magie qui hante ce monde est intégrée à tous les niveaux du gameplay, via les éléments récoltés après les combats. Il faudra savoir en user avec parcimonie. Des récoltes qui alimentent un système de craft diabolique qui, à lui seul, mérite de plonger tête la première.

Pour le reste, on pense parfois à la série des Monster Hunter, avec sa maniabilité impeccable et ses combats épiques. Mais l’ambiance est bien plus forte, plus sombre. Il vous le faut.

 

 

Hotline Miami

« Vous avez trois nouveaux messages ». Dans Hotline Miami, qui allie pixel art et boucherie, tout commence par un coup de fil. Ensuite, l’action est frénétique, les morts se succèdent et s’enchaînent, la vôtre, celles de vos ennemis, qui sont peut-être innocents, peu importe. Il faut connaître chaque niveau sur le bout des doigts ou avoir des réflexes en acier trempé. Ou alors, avoir choisi le bon masque d’animal en début de partie. Vous vous dites que « c’est fait, il a lâché la rampe ». Mais non. Les masques d’animaux (girafe, tigre, etc.) vous apportent un bonus, une capacité, une arme et le bon choix vous facilitera grandement la tâche. Ensuite, une fois trouvée votre arme de prédilection (de ce côté-ci de l’écran, c’est le couteau), vous nettoierez avec application chaque niveau, avançant dans la compréhension d’une histoire baignée de sang et parfumée à la poudre. Il vous le faut !

Et si vous n’en voulez pas, adoptez Tearaway. A l’autre bout du spectre vidéoludique, ce titre à la direction artistique incroyable et à l’univers en constante évolution, est un pur bonheur. Celui-là aussi, il vous le faut.

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Pierre Fontaine