Qui n’a jamais longuement hésité à payer deux fois plus un vêtement de marque ? Pour ce type d’achat, on peut ‘ craquer ‘ de temps en temps et se dire que c’est exceptionnel… N’est-ce
pas la même problématique quand il s’agit d’acheter des serveurs, des stations de travail ou des écrans ?Je me suis récemment posé la question lorsque j’ai constaté que quasi machinalement j’achetais des imprimantes HP ou des serveurs IBM. J’ai donc tenté d’oublier la marque et de comparer ces modèles à
d’autres, sans marque, mais dotés de fonctions similaires.Ensuite, j’ai estimé l’économie réalisée à l’achat et en prestations de mise en service et de formation du personnel, lequel va devoir parfois découvrir une autre logique de déploiement de cette nouvelle solution.Pour les écrans, ça marche plutôt bien car les fabricants de dalles TFT sont peu nombreux. Il suffit de trouver le petit frère jumeau de la marque pour réaliser la bonne affaire ! Pour les serveurs, c’est autre chose :
il faut oser acheter un équipement vital sans marque et parfois sans recul concernant les performances et le taux de panne…Alors, un peu par défi, et devant la différence de prix entre le serveur IBM ou HP à 3 800 ? et le ‘ sans nom ‘ à 1 300 ?, je me suis laissé tenter ! J’ai tout de même fait
l’expérience sur une machine non ‘ critique ‘, mais suffisamment sollicitée pour rendre ce test significatif.Résultat : pour l’instant, je suis totalement satisfait de mon choix. Et puis, le serveur est bien caché dans ma salle informatique, derrière une porte en verre fumé… ce qui n’est pas le cas du dernier ultraportable
de Toshiba acheté récemment pour un directeur, à qui je n’ai pas pensé une seconde proposer un autre modèle !* MM. Red, Green, Yellow, Blue et Purple sont cadres dans des services informatiques. Chaque mercredi, à tour de rôle, ils vous font partager le fruit de leur expérience.Prochaine chronique mercredi 13 octobre
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