L'exposition aux antennes-relais plus forte à 280 mètres

Une nouvelle étude sur l'exposition aux radiofréquences a été menée par des scientifiques français. Elle ne se prononce pas sur l'éventuelle dangerosité de l'émission d'ondes.
Le grand mystère des émissions d'ondes est décidément à la mode. Entre les déboires judiciaires des opérateurs de téléphonie mobile et la table ronde prévue à la fin de ce mois d'avril sur le sujet à l'initiative du gouvernement, une équipe de scientifiques français publie une étude sur l'exposition aux ondes, qu'elles proviennent d'antennes-relais de téléphonie, d'émetteurs de radio FM ou d'émetteurs de télévision. Au total, douze sources d'émission électromagnétiques ont été étudiées.
Les résultats, publiés au Royaume-Uni dans le Journal of environmental and biological medicine, sont issus d'une expérience menée à Besançon et dans ses environs entre les mois de décembre 2005 et de septembre 2006 auprès de 184 personnes (1) équipées pour vingt-quatre heures d'un dosimètre.
Ces appareils ont enregistré les niveaux d'exposition à chaque fois que leur porteur entrait dans un champ de radiofréquence. Les personnes tenaient un journal de leurs déplacements, histoire de savoir où elles se situaient par rapport aux divers émetteurs.
Rien sur les effets sanitaires
Premier enseignement : la plupart des mesures restent en-deçà du seuil minimum de détection, fixé à 0,05 volt par mètre (V/m), et aucune n'a dépassé le maximum fixé par les normes internationales, soit 1,5 V/m. Et ce sont les ondes de la radio FM qui s'avèrent les plus fortes.
L'autre découverte concerne les ondes émises par les antennes GSM et tient à la distance. En ville, où les antennes-relais sont placées assez bas, le niveau d'émission atteint son maximum à 280 mètres et non à proximité immédiate d'une antenne.
En zone périurbaine, au contraire, les antennes sont moins nombreuses et donc placées plus haut (entre 15 et 50 mètres au-dessus du sol) pour couvrir une plus large zone. Le niveau d'exposition maximum a alors été mesuré à environ un kilomètre de l'antenne. Dans les deux cas, le pic se situe plus exactement à l'endroit où se rencontre le champ d'ondes conique et le sol. Il reste que l'étude ne s'attache pas du tout à démontrer ou infirmer une éventuelle dangerosité des ondes et ne s'avance pas du tout sur ce terrain.
(1) L'étude comportait 200 personnes au départ, mais les résultats fournis par 16 d'entre elles ont été laissés de côté, faute de fiabilité.
-
charlatanbuster
etude completement bidon:
mesures officielles du site cartoradio
Besançon 3,8V/m mesuré a 40 mètres de l'antenne http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=15741&l=3
Lyon 5,75 V/m mesuré a 50m de l'antenne http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=13785&l=3
Antibes 11,8V/m mesuré a 30m de l'antenne http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=14689&l=3
Ca va donc saigner a 380 metre! -
mj27
L’ACADEMIE DE MEDECINE OU L’ ART DE MENTIR EFFRONTEMENT
Le mois dernier, l’Académie de médecine entrait de plein pied dans la controverse concernant la dangerosité du réseau de téléphonie mobile.
NON, affirme t’elle, le champ électromagnétique généré par les antennes-relais ne représente aucun danger.
On ne connaît aucun mécanisme dans cette gamme d’énergie et de fréquences qui permette d’expliquer un impact négatif sur la santé.
Aucun système sensoriel humain réceptif à ce type de champ n’a été identifié à ce jour.
Allons donc !
Après tout, cela ne fait que 80 ans, qu’un ingénieur dénommé Georges Lakhovsky, a identifié au sein de l’oreille interne une structure tridimensionnelle ( les canaux semi-circulaires ) parcouru par un courant régulier d’ions potassium.
Cette structure ferait un bon candidat au titre d’organe récepteur aux champs électromagnétiques.
Il affirme également que le noyau cellulaire est le siége d’une activité électromagnétique :
Les filaments nucléaires sont empli d’un sérum riche en minéraux à l’intérieur d’une gaine en tissu isolante .Sous l’effet du bombardement constitué par les radiations atmosphériques, les filaments se mettent alors à osciller électriquement à de très hautes fréquences.
Des physiciens de renom comme Fritz-albert Popp ont bien plus tard confirmé sa théorie.
Avec des photomultiplicateurs, ils ont mesuré le rayonnement électromagnétique émis par les cellules dans la gamme de la lumière visible, et les infrarouges notamment.
Aux Etats-Unis, dans les années 60, un chirugien Robert Becker a détecté un courant continu semi-conducteur parcourant tout le corps.( la semi-conduction s’etablit lorsqu’une absence de charge électrique se déplace dans un circuit ). Ce champ généré par les cellules périneurales transmet des informations de manière analogique en parallèle du système nerveux formé par les neurones.
Lors d’une phase de cicatrisation par exemple, il indique quel type de cellules former pour tel endroit.
Sa vitesse de transmission élevée en fait probablement un acteur majeur de la modulation des états de conscience.
Et bien les faibles intensités ( Becker parvient à dédifférentier des cellules en les soumettant à un milliardième d’ampère ) qu’il met en jeu le rende particulièrement sensible à toutes les perturbations électromagnétiques.
Un phénomène de résonance est bien connu des physiciens :
Une charge électrique en mouvement que l’on soumet à un champ magnétique tend à évoluer dans une trajectoire circulaire uniforme. Si on lui applique alors un champ électrique ou magnétique oscillant qui à la mème fréquence que la fréquence de rotation de la charge celle ci va alors emmagasiner de l énergie.
Or de nombreux ions présents dans nos tissus , immergés dans le champ magnétique terrestre ,
ont des fréquences de rotation autour des 50, 60 hertz.
De nombreux champs alternatifs comme ceux des lignes à haute tension provoquent donc des effets biologiques par cette résonance ( résonance cyclotron).
Les docteurs Thomas, Liboff et Schrot ont ainsi induit un état dépressif sur des rats en les exposants à une fréquence de 60 hertz qui est la fréquence de résonance des ions lithium présents en quantité dans le cerveau.
Quel rapport avec les antennes-relais me direz vous ?
Et bien les émissions haute fréquence des antennes sont pulsées en basse fréquence, c'est-à-dire que l’intensité du signal monte et décroit une cinquantaine de fois par seconde.
Si ce rappel succint ne trouble pas les certitudes de certains, peut être pourraient ils se renseigner sur la médecine militaire et notamment les soucis de santé que contractèrent les opérateurs radars dès les années 40.
Problèmes d’audition, de stérilité, vertiges et cancers furent rapidement observés chez ce personnel.( les radars émettent en hautes fréquences )
Dans les années 60, l’US Navy est à la recherche d’un moyen de communiquer à distance avec ses sous-marins nucléaires en plongée. C’est le projet SANGUINE .
Les ondes radio en très basse fréquence s’avèrent efficaces.
La Navy décrète alors une étude sur les effets biologiques de ces émissions.
Surprise ! Malgré l’intensité modérée du rayonnement 0.07 Volt/m et 0.2mT, plusieurs effets pathogènes vont être observées.( marqueurs de stress sanguins, désorientation des animaux )
Par la suite, la Navy niera avoir commandité et réalisé cette étude.
De nos jours, les choses ont peu évoluées, le lobby militaire soucieux de préserver les moyens de communication ( dont un grand nombre repose sur des émissions micro-ondes de moyenne puissance ) utilisés sur le champ de bataille exerce une étreinte de fer sur le sujet.
Toute étude scientifique susceptible de révéler la dangerosité des onde -
faute lourde
toutes leurs conclusions dementies par les chiffres officiels des mesures
tout est Faux et bidonné! comme le prouve une simple analyse des donnes officielles
http://www.priartem.fr/Mesure-des-champs.html
a quand les licenciements d'experts pour faute lourde et tromperie? -
PhBSGL
J'aimerais mettre la main sur cette étude mais ni les auteurs, ni le titre de la publication sont donnés. De plus le "Journal of environmental and biological medicine" semble ne pas exister (ou tout du moins je ne le trouve pas). Qui aurait des précisions ? Merci.
-
eltulanten
Peut etre un record du monde a antibes et pas a 280 metres mais a 30 metres
http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=14689&l=3
c'est beau la science en france! -
eltulanten
dementie formellement par les mesures sur le site cartoradio:
Par exemple
besançon: 3.8V/ a 40 metres de l'antenne
http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=15741&l=3
lyon 5.75 V/m a 50 metres de l'antenne
http://www.cartoradio.fr/info_pt.php?id=13785&l=3
le niveau de l'expertise est effrayant! -
Buzztic
Quelques contre-idées sur mon blog par rapport au action des robins des toits: http://buzztic.free.fr
-
Sharpshooter
S'il existe un seuil ce n'est pas pour dire que c'est forcément dangereux mais que c'est acceptable.
On ne pourra jamais prouver que les antennes relais ne présentent aucun danger pour la simple et bonne raison qu'IL EST IMPOSSIBLE DE PROUVER LA NON EXISTENCE DE QUELQUE CHOSE.
En clair si c'était dangereux on pourrait le prouver mais en l'absence de preuve on ne peut pas dire que c'est sans danger. Alors on fixe un seuil admissible.
A ce propos je vous rappelle que l'air est également dangereux. Tout dépend de sa pression, de sa vitesse, etc. Idem pour l'eau et pour n'importe quoi d'autre. -
Actionnaire D'LINK
Et tes voisins, tu penses aussi leur couper le wifi? Peut-être que tu vas leur expliquer pourquoi c'est plus cher que l'ethernet (j'aimerais bien le savoir moi aussi).
Alors n'oublie pas aussi de récupérer un téléphone filaire et surtout évite les ampoules fluo-compactes.
Peut-être le plus simple est de résilier ton abonnement EDF. :) -
spartacus007
Il y a 40 ans dans mon cours sur les émissions des antennes, il y avait des courbes d'émission très précises (les lobes). On semble redécouvrir les lois physiques de base de la radioélectricité !
Votre opinion