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Les résultats par critère

Des écarts importants au niveau de l’autonomie

1. Équipement

Tous les PDA sont dotés de 64 Mo de RAM, mais une partie de la mémoire peut être déjà occupée par des logiciels ou servir de mémoire cache. La grande nouveauté est l’utilisation d’une partie de la mémoire flash ROM comme mémoire
de masse (de 3 à 31 Mo) pour stocker les données. Ces dernières sont alors conservées évitant une perte irrémédiable d’informations en fin d’autonomie des batteries (principale et de secours). Les modèles de type PocketPC ont des écrans
quasiment identiques en termes de taille et de définition, hormis celui du Tungsten T3, plus spacieux. À l’exception du MyPal A716 d’Asus, les dimensions sont assez proches d’un modèle à l’autre, mais on constate des écarts au niveau du poids (de
131 à 193g sans la housse). Outre les fonctions d’agenda, les PDA disposent tous d’un tableur, d’un traitement de texte, d’un client de messagerie et d’un lecteur multimédia (plus limité dans les formats pris en charge chez palmOne). Signalons la
présence d’outils de conversion monétaire chez HP et de gestion des dépenses chez palmOne.

2. Performances globales

Les PDA munis d’un processeur à 400 MHz obtiennent des notes de rapidité très proches. Seul l’Axim X30 Combo se démarque grâce à son processeur Intel PXA270 à 624 MHz. L’autonomie mesurée est très variable d’un modèle à
l’autre (de 5 h 12 min à 12 h 36 min) et l’activation de l’interface sans fil 802.11b provoque une baisse importante (de 1 h 06 min à 6 h 53 min). Seul le Pocket LOOX 420 s’approche des 7 heures dans ce mode
grâce à une bonne gestion de l’énergie, tandis que l’iPAQ h4150 et ­surtout­ le Tungsten T3 se révèlent très décevants. Enfin, toutes les batteries sont remplaçables par l’utilisateur sauf celle du Tungsten T3.

3. Communication

Tous les modèles bénéficient d’un port infrarouge et d’une station d’accueil avec interface USB 1.1. Les interfaces Bluetooth et 802.11b sont intégrées sauf pour le Tungsten T3 (SD-Card pour le 802.11b). Le PDA de palmOne cède du
terrain sur ses rivaux sur le plan de la facilité de mise en ?”uvre de la liaison wi-fi, sans que l’on puisse établir un rapport de cause à effet direct avec ce qui précède. Il en va de même sur le plan de la performance de la communication entre
PDA et PC, le Tungsten T3 se plaçant globalement en retrait, tant en USB, wi-fi qu’en Bluetooth, que ce soit en transfert de fichiers ou lors de synchronisations.

4. Confort d’utilisation

La qualité d’affichage des écrans est bonne, voire très bonne (HP et palm-One), mais on constate des écarts importants de luminosité (de 78 à 128 cd/m2). La saisie des données ne pose pas de problème
particulier, mais seuls palm-One et Fujitsu Siemens proposent une protection contre un allumage accidentel. Tous les PDA comportent un pavé directionnel, des touches d’accès direct et une touche pour le dictaphone, mais seul Dell intègre une touche
d’accès direct au 802.11b. Signalons également la présence d’une icône 802.11b qui offre un accès rapide aux réglages chez Asus et Fujitsu Siemens. Enfin, les constructeurs doivent faire des efforts sur la documentation.

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La rédaction