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Les résultats des tests d’étendue et d’efficacité des règles

Cisco met en ?”uvre tous les mécanismes de filtrage mais trébuche lorsqu’il s’agit d’identifier applications et utilisateurs. Chez Nortel, des fonctions présentes sont inactives, mais la solution intègre un outil de gestion des adresses IP.

Règles de filtrage réseau Cisco, seul au-dessus de la moyenne

Les règles de filtrage réseau qui ont été testées se réduisent à celles réellement supportées par les serveurs de politiques de qualité de service. Les mécanismes intégrés aux routeurs mais invisibles du serveur ont donc été ignorés. Une distinction qui vaut à Nortel Networks la dernière place. L’interface utilisateur d’OPS (Optivity Policy Services) fait, en effet, apparaître certaines fonctionnalités, comme la limitation du trafic en entrée, qui se révèlent inactives. Un véritable bogue que le constructeur promet de corriger dans la prochaine version. Cisco Systems réalise pratiquement un sans-faute. Il est le seul à accepter le Priority queuing ?” un algorithme de gestion des files d’attente donnant une priorité stricte selon quatre niveaux, en fonction de critères multiples. De même, seul son produit, le QPM (QoS Policy Manager), offre la prévention de congestion, assurée par le mécanisme RED (Random early discard), qui réalise une gestion intelligente des files d’attente. La solution de Cisco pèche par son ignorance des mécanismes de réservation de ressources. Une lacune qui n’apparaît d’ailleurs pas dans notre tableau, les solutions de Nortel et d’IBM ne faisant pas mieux. Ces deux dernières affichent, en outre, des restrictions au niveau de l’interface sur laquelle sont appliquées les règles. Avec OPS, le sens du flux doit être précisé, tandis que l’ADN (Application Driven Networking), d’IBM, ne sait pas appliquer une règle sur une interface Ethernet.

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La rédaction