Etroitesse du marché national.
Multiples éditeurs de petite taille (facteur de risque sur la pérennité).
Difficulté de se déployer à l’international.
Lourdeur des charges fiscales.
Partenariats avec les grands intégrateurs trop peu développés.
Frilosité des investisseurs, bien moins nombreux qu’aux Etats-Unis, fonds d’amorçage insuffisants, etc.
Lourdeur et complexité des dispositifs d’aide : aides à l’export, crédit impôt recherche.
Rigidité du code du travail : cycle de recrutement long, difficulté de recruter des étrangers, etc.
Faible soutien des grands comptes, tant publics que privés, aux jeunes éditeurs : renvoi vers les sous-traitants, effet ‘ grande marque ‘ privilégiant les éditeurs bien installés.Source : IDC/CXP
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