1. Simplicité de mise en ?”uvrePour évaluer la simplicité de mise en ?”uvre des logiciels, nous avons pris en compte la qualité des assistants de conversion,…
1. Simplicité de mise en ?”uvre
Pour évaluer la simplicité de mise en ?”uvre des logiciels, nous avons pris en compte la qualité des assistants de conversion, mais aussi la possibilité d’automatiser des conversions multiples ou d’organiser la publication et les fichiers exportés.
2. Génération de code HTML
Les problèmes de compatibilité de code HTML résultent principalement d’une mauvaise gestion des tableaux. Afin d’éviter ce genre de désagrément, il est souvent préférable de recourir au format PDF, dont le principal atout est de conserver les mises en forme (marge, effet de texte, etc.) qui, généralement, résistent peu à la conversion HTML.
3. Traitement des éléments graphiques
Les notes attribuées pour ce critère tiennent compte de la richesse des formats d’export et d’import d’image, mais aussi de la richesse des fonctions pour le traitement graphique en vue d’une conversion web. Les suites bureautiques arrivent bien entendu en dernière position, cette tâche ne constituant pas leur fonction principale.
4. Respect de la mise en forme du document
Pour l’évaluation de ce critère, tout dépend du type du document et du logiciel. Il est en effet inutile de comparer la mise en forme d’un tableau avec le logiciel Photoshop, lequel est un outil de traitement d’image. C’est pourquoi notre laboratoire a préféré n’attribuer qu’une note par type de document et non pour la globalité du critère.
5. Extraction de données
Le langage XML constitue la technologie par excellence pour échanger des informations vers les bases de données. Malgré cela, 2 des produits testés (Office 2000 Premium et WordPerfect Office 2000) offrent la possibilité de publier des documents sur le web en passant outre ce format et exportent directement en HTML statique, par exemple.
