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Le moment de mettre à jour nos compétences

Et si cette période de bas étiage économique était propice à la mise à jour de nos compétences ? Les chantiers an 2000, euro et trente-cinq…

Et si cette période de bas étiage économique était propice à la mise à jour de nos compétences ? Les chantiers an 2000, euro et trente-cinq heures ont maintenu le curseur des savoirs tournés vers le passé. Or, le progrès technique connaît une forte accélération dans les phases de ralentissement économique. Quelles sont donc aujourd’hui les technologies émergentes qui investiront le c?”ur de nos métiers ?Linux. Il s’impose désormais, au côté des serveurs Microsoft, en toute complémentarité. Qui, en effet, achètera avec Windows 2000 ce qu’il peut avoir gratuitement sous Linux à l’heure des fortes contraintes pesant sur les budgets informatiques ?Les architectures n-tiers. Java, XML, ASP, PHP sont aujourd’hui les plates-formes les plus prisées en matière de développement. Certes, elles demeurent complexes dans leur mise en ?”uvre. Le client-serveur avait ces mêmes défauts de jeunesse. L’offre de produits autour de ces technologies se renforce et permettra des gains de productivité pour peu que les problématiques liées à l’attractivité visuelle ne l’emportent pas sur le contenu.La sécurité. Avec l’interconnexion des sites distants, internet et le haut débit, l’administration du réseau devient stratégique. Cryptographie, firewall, VPN et proxy exigent de nouvelles compétences, y compris dans le domaine juridique.L’annuaire. En 1996, Novell avait intégré la globalisation économique en proposant, avec NDS, un service d’annuaire très performant. Microsoft a suivi en 1999 avec Active Directory. Beaucoup d’entreprises n’hésitent plus à utiliser le logiciel libre et Open LDAP pour gérer leurs annuaires en interopérabilité totale avec les solutions commerciales.On pourrait encore parler d’informatique embarquée, de SAN, de NAS, de clustering, de bases de données orientées objet, d’UML ou de téléphonie IP… Toutes ces techniques habiteront définitivement nos métiers. Alors, si nous profitions de ce trou d’air pour se remettre dans le coup ? Le Fafiec la parfaitement compris et propose aux entreprises de notre secteur le capital temps formation. Bien vu.

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Denis Szalkowski