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Lara Croft and The Temple of Osiris, 5 raisons de débuter l’année en bonne compagnie

Marchant dans les pas de son aîné, ce nouveau « Lara Croft » est une réussite, plaisante en solo, excellente en multi. Plus on est de fous, plus on rit. Plus on est de fous, plus on meurt.

Plus de quatre ans après The Guardian of Light, Crystal Dynamics nous propose d’enfiler à nouveau les rangers de la célèbre archéologue dans des aventures en 3D isométrique, qui mélange plate-forme et casse-tête pour le bonheur des solitaires et des adeptes de la coopération. Nous avons parcouru et reparcouru ce nouvel opus, voilà cinq raisons d’y jouer.

Pour lire la vidéo, cliquez ici.

1 – Parce qu’il va falloir attendre jusqu’à la fin d’année pour Rise of The Tomb Raider
Histoire de nous faire patienter, Crystal Dynamics nous a propose de nouvelles aventures de Lara Croft en attendant qu’on retrouve la jeune héroïne dans la suite du superbe reboot de 2013 de la saga qui lui est consacrée.
Le genre est différent mais la patte du studio californien se retrouve un peu dans ce jeu, et c’est un régal de retrouver l’aventurière dans un titre, dont l’histoire sans être exceptionnelle, s’appuie joliment sur un pan de la mythologie égyptienne revu et simplifié.

2 – Parce que le mélange action-puzzle est toujours aussi prenant
Des puzzles et phases d’exploration-réflexion, il y en avait déjà dans les premiers Tomb Raider, mais ici, ce n’est plus un à-côté, c’est un art de vivre. Et là où Crystal Dynamics excelle c’est dans l’art d’utiliser l’environnement pour soumettre des énigmes et petits puzzles, jamais très compliqués, qui flattent le cerveau du joueur entre deux combats bien rythmés. On regrettera juste les mêmes problèmes de perspective que sur l’épisode précédent lors de certains sauts. Une chose est certaine, on ne lâche qu’à regret sa manette.

3 – Parce qu’on peut jouer à quatre, même s’il n’y a qu’une Lara
The Guardian of Light
proposait déjà un mode coopératif à deux, maintenant, ce sont quatre joueurs qui peuvent vivre ces aventures égyptiennes. Si l’action perd parfois un peu en lisibilité, surtout lors des combats ou des phases d’action, quand les effets graphiques baignent l’écran, le plaisir de s’entraider ou de s’entretuer amicalement est un vrai plus. Car, il y a deux façons d’aborder de mode coopératif. Soit en jouant le jeu, soit en décidant de ne se donner un coup de main qu’a minima pour savoir qui est le meilleur… Dans les deux cas, le plus dur sera de décider qui joue Lara et qui prend les rôles de Carter, un archéologue rival et allié de circonstance, et d’Isis et Horus, dieux égyptiens liés à Osiris par les liens du sang.

4 – Parce qu’on prend plaisir à évoluer dans des niveaux aux ambiances variées
Si la 3D isométrique peut dérouter un peu, si parfois les perspectives font qu’on ratera un saut et donc perdra un multiplicateur de bonus, la réalisation sans faille, les effets visuels, la beauté des décors et la variété des tableaux gigantesques traversés nous plongent au cœur de ce qui a fait le succès de cette série : une certaine vision historique qui tient du péplum et ne s’embarrasse par de vraisemblance pour mieux nous envoûter.

5 – Parce qu’il y a tant à explorer et à débloquer
Pour seulement 16 euros (sur Steam) vous allez vous offrir des heures de jeu, seul ou à plusieurs, comme dit plus haut. D’autant que The Temple of Osiris, comme son aîné, est un piège bien vicieux pour les complétistes et les fans du score parfait. Il vous faudra du temps pour trouver toutes les amulettes, toutes les sceptres et autres bonus qui sont disséminés dans les niveaux. Certains ne peuvent être atteints que dans des conditions précises, niveau des eaux élevé, froid intense, etc. Des aventures qui pourraient vous tenir en haleine jusqu’à la fin d’année !

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Pierre Fontaine