Les processeurs Joshua ne présentent pas de grande nouveauté, puisqu’ils sont les descendants de ceux de Cyrix, société achetée l’an dernier. Et la prochaine génération de processeurs sera basée sur les technologies de Centaur, société également achetée en 1999, à IDT cette fois-ci. Ce qui, au final, donne des puces aux performances appréciables mais modestes.
Avec des premiers modèles à 400 et 433 MHz et des tarifs économiques, les processeurs de VIA se posent en concurrents du Celeron d’Intel et du K6-2 d’AMD. Un vaste marché aux marges très réduites : si Centaur et Cyrix ont été vendus, c’est parce que leurs propriétaires narrivaient pas à les rendre profitables.
Quoique soutenu par un grand groupe industriel taiwanais, le Formosa Plastic Group, VIA ne dispose toutefois pas de suffisamment de fonds pour supporter plusieurs années de pertes.
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