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En vitrine: L’Apple III face… à l’Apple II

Plus puissant, plus facile à utiliser et… plus professionnel.

Bien qu’il ait été présenté pour la première fois en mai 1980, l’Apple III est encore relativement peu connu. Il a pourtant bien des atouts. Son ergonomie soignée tranche particulièrement avec celle de l’Apple II. Il est composé d’un clavier, d’une unité de traitement, d’un écran et, en standard, d’un lecteur de disques souples intégré à l’unité de traitement. Sa capacité maximale d’enregistrement dépasse 20 Mo (avec quatre disques Profile de 5 Mo et cinq lecteurs de disques souples de 143 Ko). Il est équipé d’un processeur 6502B qui garantit la comptabilité avec les logiciels de l’Apple II tout en offrant plus de puissance. L’Apple III dispose d’un écran qui s’intègre harmonieusement à l’ensemble. Il affiche 80 colonnes contre 40 pour le modèle précédent. En mode graphique, sa définition atteint 280 x 192 points en couleur et 560 x 192 points en noir et blanc. Sa mémoire est plus étendue que celle de son aîné : 128 Ko (extensible à 256 Ko) contre 16 à 48 Ko. Outre le clavier qui offre un pavé numérique séparé, une touche Enter apparaît et permet de valider un écran complet (au lieu d’une ligne pour l’Apple II). Enfin, un jeu de quatre touches permet de déplacer le curseur.

Tandy retrouve l’accent français

Terminés les “macons francais hebetes” sur les Tandy TRS 80 modèle II. Le Bureau de calcul mathématique de Banneux (Belgique) propose un ensemble matériel-logiciel, le BCM-7, qui permet de transformer le clavier Qwerty du micro de Radio Shack en clavier Azerty. En plus de la disquette programme, le pack comprend une carte électronique ainsi que de nouveaux cabochons de touches strictement identiques à ceux d’origine. À l’exception de ceux portant des caractères accentués. Le kit BCM-7 est vendu 2 700 F (ht).

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La rédaction