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Aliens vs Predator : les modes multijoueurs en détail

La paix cosmique n’est pas pour demain…

Aliens vs Predator, c’est un fantasme de zoologiste geek morbide qui a d’abord pris corps comme un jeu vidéo sur console Nintendo en 1993, avant de connaître un réel succès sur PC six ans plus tard.

Réalisée par le studio britannique Rebellion, l’adaptation est rapidement devenue mythique : il s’agissait du premier titre où l’on pouvait incarner les deux races extraterrestres, avec une prise en main radicalement différente pour chacune.
Dix ans plus tard, après une palanquée d’épisodes plus ou moins réussis et réalisés par d’autres studios, les Anglais reprennent la main sur leur titre et tentent de rafraîchir leur licence. Le jeu solo sera découpé en trois parties proposant d’incarner les Marines, des humains armés jusqu’aux dents mais un poil chétifs, les véloces Aliens et les sournois Predators. C’est à plusieurs que le jeu offrira les meilleures sensations, à travers des modes multijoueurs inédits pouvant accueillir jusqu’à dix-huit adeptes, que nous vous présentons aujourd’hui.

Multijoueur classique
Chacun pour sa race, chacun pour sa peau : le gagnant sera celui qui aura éliminé le plus grand nombre d’autres joueurs.

Infestation
Il s’agit d’une partie ne comprenant que des Marines et des Aliens. Au début, un joueur est choisi au hasard pour incarner l’Alien. Chaque Marine qu’il tuera se transformera à son tour en Alien, la partie s’achevant quand le dernier humain aura été éliminé par les vilaines bestioles.

Chasse au Predator
Tout est dans le titre ! Un joueur est choisi au hasard en début de partie pour jouer le Predator, les autres joueront les Marines. Le premier doit éliminer un humain en moins d’une minute ou éviter de se faire tuer. Le Marine qui tue le Predator prend sa place !

Survie
Comme dans le mode Horde de Gears of War 2, les Marines doivent résister le plus longtemps possible face à une invasion d’Aliens. Il s’agit d’un mode coopératif.

Pyramide
Ici, les joueurs sont lâchés dans un niveau… à géométrie variable, inspiré par le film. Les cloisons bougent, les pièces rétrécissent, la topographie change en permanence : l’idéal pour perdre la tête, au propre comme au figuré.

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Alexandre Maïakovsky