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Test : Partager un disque dur en réseau en toute simplicité

Avec le NAS-351, facile d’ajouter 750 Go de stockage à son réseau. En prime, on peut aussi y relier d’autres appareils.

L'avis de 01net.com

Storex CLUB NAS-351 - 320 Go

Les plus

  • + Grande capacité de stockage
  • + Possibilité d'ajouter des périphériques en partage

Les moins

  • - Rien

Appréciation générale

4 / 5

Note de la rédaction

Note publiée le 15/05/2007

Voir le verdict

Fiche technique

Storex CLUB NAS-351 - 320 Go

Nombre de disques max gérés 1
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Storex CLUB NAS-351 – 320 Go : la promesse

Ajouter rapidement des gigaoctets à son réseau domestique: tel
est le rôle présumé de ce disque dur externe Storex. De sa référence NAS-351,
il faut comprendre qu’il se raccorde directement à un routeur pour offrir à
toutes les machines du réseau un espace de stockage commun. Et ce, d’après le constructeur, en toute simplicité. 

Storex CLUB NAS-351 – 320 Go : la réalité

Force est de constater que l’installation de ce disque dur réseau
est effectivement très simple. Livré avec un câble Ethernet et son
alimentation, il n’y a plus qu’à le connecter au secteur ainsi qu’à
l’arrière de notre modem routeur (en l’occurrence, une Freebox).

Scrupuleux, nous avons suivi les
instructions de la documentation fournie. Mais à vrai dire, elle est
très succincte. Et pour cause: la configuration du produit est d’une
extrême simplicité. Après l’avoir branché au réseau, il suffit de taper son adresse dans l’explorateur, en l’occurrence «\Storex»,
pour voir immédiatement à l’écran tout son contenu.

C’est également depuis cet écran que l’on accède à la gestion du disque
dur. Présentée sous la forme d’une page Internet, l’interface
d’administration offre toutes les options nécessaires. De la gestion
simple du partage de fichiers à la possibilité d’autoriser ou non
l’accès à des groupes d’utilisateurs, tout y est.

C’est en
se connectant avec le nom et le mot de passe administrateur que l’on
peut tout paramétrer. Les utilisateurs les plus avertis pourront par
ailleurs définir certains paramètres réseau pour pouvoir accéder au
contenu de l’appareil depuis n’importe quel ordinateur
connecté à Internet. Bref, dans le cadre d’un usage personnel, on
apprécie la simplicité d’utilisation et le fait de n’avoir
presque rien à faire.

Côté performances, le NAS-351 s’appuie sur les taux de transfert du réseau utilisé. Dans notre cas, avec un branchement en mode filaire (câble Ethernet),
il nous a fallu près de trois minutes pour transférer un fichier de
750 Mo. Avec un PC portable connecté en Wi-Fi (802.11g),
l’envoi d’un fichier de 350 Mo sur le disque dur a pris, lui, 4 minutes et 35 secondes.

Pour ce qui est de la récupération de fichiers depuis
le disque dur réseau, nous avons obtenu des temps légèrement plus
rapides. Une minute suffit à récupérer le fichier avec la connexion
Ethernet contre 2 minutes et 40 secondes en Wi-Fi. Inutile de dire qu’une
connexion filaire est préférée dans les deux cas.

De plus,
le constructeur indiquait qu’il était possible
d’ajouter deux périphériques USB directement à l’arrière du boîtier pour les partager. Nous avons donc essayé, et ça fonctionne! Notre second disque dur externe (alimenté par
secteur) a été reconnu par l’interface de configuration et nous avons
ainsi pu en partager le contenu.

Idem pour le partage d’une imprimante.
Branchée à l’arrière du boîtier, notre vieille Epson a
été reconnue et nous avons pu imprimer à distance depuis
différents ordinateurs, en ayant installé au préalable les pilotes d’impression sur chaque machine.

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