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PC et portables : la rentrée à prix cassés

PC de bureau à 600 euros, portables à 700 euros : ce sont quelques exemples de bonnes affaires en tête d’affiche de la rentrée. C’est le moment de s’équiper, sans trop attendre, car les stocks sont parfois
limités.

  • PC et portables : la rentrée à prix cassés

C’est devenu une tradition : à la rentrée, les constructeurs et les revendeurs, comme les hypermarchés, cassent les prix du matériel informatique à grands coups de promotions et de renouvellements de gamme. Une occasion
idéale pour s’équiper à moindre coût. Et, cette année encore, les bonnes affaires fleurissent? Ainsi, pour 850 euros, on peut s’offrir un PC complet avec un accès au haut-débit à 1 Mbit/s pendant un an. Et, pour
999 euros, un pack comprenant un ordinateur, un appareil photo et une imprimante multifonction !Pour afficher un tarif vraiment ” fracassé “, la
boutique en ligne de Carrefour a même fait un choix étonnant : elle propose un PC à 299 euros sans écran? et sans Windows
(lire à ce sujet cet
article) ! Et pour cause, il est livré avec Linux et une suite de logiciels gratuits.

Les grandes marques s’y mettent

Le prix plancher des PC de bureau d’entrée de gamme avec un écran cathodique de 17 pouces se situe aux alentours de 600 euros. Un seuil stable par rapport à 2003, mais le niveau d’équipement est en nette hausse.
Les processeurs sont plus puissants (2 GHz ou plus), la capacité des disques durs, plus importante (80 Go ou plus), et le graveur de DVD fait une remarquable percée.Fait nouveau : de grandes marques, telles HP et Packard Bell, proposent des modèles à des tarifs similaires à ceux des assembleurs (599 euros, par exemple, pour un PC complet estampillé Packard Bell).Du côté des portables, les modèles d’entrée de gamme sont environ 100 euros moins chers que ceux proposés l’an passé, la moyenne s’établissant à environ 700 euros. Certaines enseignes prévoient des
opérations spéciales, avec des ordinateurs à 599 euros (comme Carrefour avec le PowerNet G320), mais les quantités disponibles seront limitées. Surtout, et la tendance devrait se confirmer, l’écart de prix entre les PC de bureau et les
portables est aujourd’hui quasiment nul.

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Stéphanie Molinier, Thierry Virolan