Pour Guy Hascouët, le ” droit d’accès démocratique ” à Internet constitue une véritable ” mission de service public “.Le secrétaire d’Etat, qui se veut le représentant de tous ceux qui appréhendent Internet comme ” un espace de liberté et de citoyenneté active “, envisage la mise en place d’un fonds de l’Internet solidaire pour travailler à réduire ce qu’il est maintenant convenu d’appeler la fracture numérique.Ce projet, dont les modes de financement restent encore flous, devrait déboucher sur la création “d’un portail de l’économie sociale et solidaire”, regroupant des associations, des coopératives et des banques mutualistes.Par ailleurs, suivant le principe éprouvé des Systèmes d’échanges locaux (SEL), ou des réseaux d’échanges de savoir, Guy Hascouët fait la promotion d’une sorte d’incubateur de start-up solidaires, une structure dont la vocation serait d’offrir un soutien logistique ” susceptible de favoriser l’essor d’entreprises, créatrices de richesses et de plus-value sociale “.Les internautes intéressés par le développement de ce type de projet peuvent d’ores et déjà faire acte de candidature directement sur le site du secrétariat d’Etat, et ce, jusqu’au 19 octobre prochain.
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