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Les vainqueurs : on aime, on n’aime pas…

Grandes qualités et petits défauts… Voici ce que la rédaction a pensé des deux lecteurs vainqueurs.

Toshiba SD-P91DT

L'écran orientable du Toshiba SD-P91DT
L’écran orientable du Toshiba SD-P91DT

ON AIME… l’écran orientable en tous sens
Nomades par nature, les lecteurs de DVD portables n’offrent pas toujours des conditions de visualisation optimales. Parfois, ils ne sont pas placés face au spectateur, mais sur le côté. De plus, leur écran peut se retrouver face à la lumière du jour. Celui du Toshiba SD-P91 est orientable de droite à gauche, ce qui permet de conserver une bonne visibilité dans la plupart des cas. Mieux encore, il est possible, en faisant pivoter l’écran à 180° latéralement, puis en le rabattant sur la base, d’utiliser le lecteur à plat, à la façon d’une tablette graphique. Il occupe alors un minimum de place et peut être posé sur les genoux.

ON AIME… l’autonomie de la batterie
C’est le champion de l’autonomie. Alors que la batterie de la majorité des autres modèles offre 2 à 3 heures de visualisation sans rechargement, celle du Toshiba atteint les 5 heures 37 minutes, selon les mesures de notre laboratoire. Ce qui permet de regarder deux ou trois films sans avoir à chercher une prise de courant.

ON AIME… les deux prises casque
N’est-ce pas agréable, pour passer le temps lors d’un voyage en train ou en voiture, de regarder un film ? A condition d’utiliser un casque, pour éviter de déranger les autres passagers et s’isoler des bruits ambiants. Et comme le constructeur a eu la bonne idée d’équiper ce modèle de deux prises casque, deux personnes peuvent suivre le film sur le même lecteur.

ON N’AIME PAS… le ratio largeur/hauteur de l’écran
L’écran de 22 centimètres de diagonale est un peu plus large qu’un écran 16/9 (en fait son ratio largeur/hauteur est de 16/8,3). De ce fait, des bandes noires verticales apparaissent en permanence sur les côtés, quel que soit le film ou le clip regardé.

ON N’AIME PAS… le poids et les dimensions
Un écran de 22 cm, une batterie offrant une autonomie de 5 h 30 min, une connectique complète… tout cela a un impact sur le poids et l’encombrement. Le Toshiba pèse plus de 1,6 kg, soit le double du plus léger des lecteurs de ce comparatif. C’est également le plus large (26,8 cm) et le plus épais (5,1 cm).

Sigmatek PDX-1282WB

ON AIME… le prix
De grandes disparités de prix caractérisent ce banc d’essai. Dans la tranche haute, on trouve le gagnant et le modèle Panasonic, tous deux à 249 euros. Le PDX-1282 de Sigmatek est vendu trois fois moins cher, soit 79,90 euros. Un prix imbattable ?! Nous l’avons même trouvé à 69 euros sur Internet.

ON AIME… les oreillettes fournies
Environ un modèle sur deux est livré avec une paire d’écouteurs ou un casque. C’est donc une chance que Sigmatek, qui n’est pas généreux en termes d’accessoires, ait pensé à en fournir un avec son lecteur.

La connectique du Sigmatek PDX-1282WB
La connectique du Sigmatek PDX-1282WB

ON AIME… la connectique
Ce lecteur ne se contente pas des films gravés sur DVD. Grâce à son port USB Host et à son lecteur de cartes, il peut aussi afficher les photos et vidéos stockées sur une clé USB, un disque dur externe ou une carte mémoire.

ON N’AIME PAS… l’absence de housse de transport
Quel dommage de ne pas disposer d’une housse pour protéger le lecteur et faciliter son transport. Quant à ceux qui souhaitent regarder un film lors d’un voyage en voiture, ils devront garder l’appareil sur leurs genoux. En effet, aucun système de fixation du lecteur aux sièges n’est fourni.

ON N’AIME PAS… la qualité de l’écran
L’écran est de manière générale le point faible de ces lecteurs de DVD portables. Mais celui-ci cumule les défauts. A commencer par une luminosité et un contraste pitoyables, inconvénients pour le moins gênants dans un environnement très lumineux. Autre défaut : le manque de respect et de stabilité des couleurs.

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Coralie Cathelinais