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Les sites grand public passés au scanner

Ixi met à jour les failles d’un site de commerce B to C et accompagne la société cliente dans l’optimisation de son projet.

Difficile de savoir pourquoi un site B to C n’est pas rentable. Certains accusent un manque de budget en communication et marketing, d’autres sont victimes d’une mauvaise gestion de leur logistique ou insuffisamment équipés, quand ce ne sont pas les produits eux-mêmes qui n’attirent pas les internautes.

n face à face B to C/B to B

Spécialisé dans le conseil en organisation et management de projets, Ixi dispose d’une offre de diagnostic de sites marchands B to C. En 3 jours et pour 25 000 F (tarif de la prestation Diagnostic-flash [3 811 e]), un consultant se pen-che sur la chaîne complète de vente d’un produit sur Internet. Il étudie le processus de commande puis trace l’achat jusqu’à la livraison. S’attardant aussi bien sur la qualité du front office que sur les procédu-res mises en ?”uvre sur les applications back office, il établit un état des lieux et préconise des recommandations. Capable d’agir en amont du projet, Ixi peut également accompagner son client dans le déploiement de son projet. “Améliorer sa chaîne d’approvisionnement revient à optimiser le service clients. C’est notamment sur ce point que les sites peuvent se distinguer”, analyse Philippe Outrebon, consultant chez Ixi. Les professionnels de la vente par correspondance (VPC) sont d’ailleurs là pour en témoigner ; confrontés très tôt à ce souci, certains ont su s’en sor-tir assez vite, à l’image des sites d’Aquarelle ou de Cybervision.

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Frédéric Simottel