2001 : Internet enfin devant le Minitel
Net-éco en bref
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15 novembre 2001 à 00:00
Sidewinder Game Pad Pro, de Microsoft On aime… le confort d’utilisation Microsoft peut être particulièrement fier de ce gamepad : selon notre jury, le constructeur a…
Sidewinder Game Pad Pro, de Microsoft On aime… le confort d’utilisation
Microsoft peut être particulièrement fier de ce gamepad : selon notre jury, le constructeur a réussi à créer une manette qui est à la fois précise et agréable à tenir en main (bien qu’un peu en deçà de la SideWinder Plug & Play). Dommage qu’elle soit pénalisée par ses autres caractéristiques générales (nombre de boutons, basculement analogique/numérique par logiciel), car elle aurait pu sans complexe prétendre à la première marche de notre podium
On n’aime pas… l’absence de manette des gaz
Les deux plus gros défauts de cette manette sont l’absence d’un bouton de basculement du mode analogique au mode numérique ?” qui fait tant pour le confort d’utilisation ?” et l’absence d’une manette des gaz ?” si pratique avec les jeux de conduite ou de pilotage. Des carences qui ne se justifient même pas par un prix moindre que la concurrence
P750, de Saitek On aime et on n’aime pas… la programmation des profils
Beaucoup plus évolué que les logiciels concurrents, celui de Gravis est accompagné d’une notice imprimée parfaitement claire et d’une aide en ligne du même acabit. Heureusement, car l’interface est pour le moins déroutante. Signalons de plus que le logiciel échoue un peu trop souvent dans la reconnaissance du jeu exécuté et dans le choix automatique du profil approprié
Sidewinder Plug & Play Game Pad, de Microsoft On aime et on n’aime pas… la simplicité
Cette manette, la plus simple de la gamme de Microsoft, ne fait pas dans les détails. Peu de boutons, pas de pilote spécifique, pas de gestion des profils. Mais il porte réellement bien son nom de Plug and Play (branchez et jouez). C’est très bien pour les débutants et les joueurs occasionnels ; les joueurs invétérés, eux, n’y trouveront pas leur compte M
Wingman Rumble Pad, de Logitech On aime… le nombre de profils de jeux livrés
C’est depuis toujours l’un des points fort de Logitech, qui livre avec chacune de ses manettes plus d’une centaine de profils de jeux prédéfinis. Le constructeur suisse fait preuve d’astuce, puisque ces profils sont communs aux gamepads, volants et joysticks de la marque. Grâce à eux, la manette s’adapte rapidement à tous les types de jeux
On n’aime pas… la taille imposante
La présence des deux moteurs de vibration explique sans aucun doute la taille particulièrement imposante du Wingman Rumble Pad. Les grandes mains des adultes ne devraient pas rencontrer là de problème, mais les mimines des plus petits auront bien du mal à s’adapter à un tel embonpoint
Sight Fighter Wireless, de Trust On aime… la connexion sans fil très fiable
Il est le seul gamepad de notre banc d’essai à utiliser une technologie sans fil, la communication avec le micro se faisant par ondes radio. Bien plus fiable que les anciens infrarouges, ce système apporte un confort d’utilisation réellement appréciable, d’autant que Trust annonce une portée (non vérifiée) de cinq mètres, soit bien plus qu’il n’en faut
On n’aime pas… le rapport qualité/prix
Le sans-fil a un prix. Pour l’intégrer à sa manette, Trust a dû rogner sur les autres caractéristiques générales. Malgré cela, le Sight Fighter Wireless coûte tout de même le même prix que notre gagnant, le Firestorm Dual Power de Thrustmaster, tout en étant largement moins précis et moins riche en fonctions
V-Play GP200U, de Vivanco On aime… le “ look and feel ” PlayStation
Quatre boutons en croix sous le pouce droit, une croix directionnelle sous le gauche, une manette analogique de chaque côté… Si vous vous demandez où les designers de Vivanco sont allés puiser leur inspiration pour dessiner ce gamepad, ne cherchez pas : c’est une copie quasi conforme de la manette de la PlayStation de Sony, réputée depuis des années pour être la meilleure du marché
On n’aime pas… les pilotes en anglais
Est-ce un oubli ou une volonté de faire des économies ? Toujours est-il que Vivanco livre avec sa manette des pilotes en anglais. Un point inacceptable de nos jours (d’ailleurs contraire à la loi), qui rebutera la plupart des utilisateurs
Eliminator Gamepad Pro, de Gravis On aime… le réglage des axes analogiques
Le logiciel de programmation de Gravis permet d’affiner la sensibilité des axes analogiques de la manette. Qu’on les préfère souples ou rigides, chacun pourra ainsi les régler à son goût
On n’aime pas… l’installation difficile des pilotes
A cause d’une notice erronée (elle indique qu’il faut connecter la manette au micro avant d’installer les pilotes, alors que c’est l’inverse !), un message inquiétant apparaît à l’écran, et Windows peine à détecter la nouvelle manette. Rien de bien grave dans l’absolu, mais ces difficultés auraient facilement pu être évitées
X-Terminator Digital, de Gravis On aime… la présence d’un adaptateur USB/port jeu
Bien que tous les ordinateurs récents possèdent des prises USB, Gravis a tout de même pensé aux utilisateurs de micros qui n’en disposent pas ou qui n’en ont plus de disponibles. Grâce à cet adaptateur, il est possible de connecter lX-Terminator Digital à la prise jeu de la carte son. Comme au bon vieux temps !
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