Passer au contenu

Epiware : un portail collaboratif

Epiware Portal Server permet de partager des documents en ligne.
Il offre divers outils de collaboration

Epiware se présente comme un portail collaboratif. Il permet à de partager des documents et de gérer des projets en ligne en attribuant des droits différents selon l’internaute.En haut de l’échelle, le root manager administre le portail : il crée les projets et associe à chacun un administrateur, chargé de gérer chaque projet et de définir quels utilisateurs ou groupes y participent, fixe les droits d’accès aux dossiers (lecture, écriture) et organise les forums de discussion qu’Epiware propose de créer autour de chaque projet. Il détermine s’il s’agit d’un projet de confiance ou non : dans ce dernier cas, les documents envoyés par les participants ne pourront pas être vus ni téléchargés sans son accord.Sous une interface dépouillée, Epiware présente différents outils. Les documents envoyés par les participants apparaissent sous forme arborescente, une icône précisant leur type et leurs droits d’accès. Traduits en HTML, les documents de type texte sont visibles sous forme brute dans le navigateur, ce qui évite de les télécharger. Il est possible d’être averti par mail quand un nouveau document est disponible dans un dossier.

Ne fonctionne qu’avec Linux

Epiware abrite un moteur de recherche, mais les documents de type texte, au format Word ou Acrobat, ne sont indexés qu’une fois par jour. Les fichiers images (JPEG, GIF, BMP, Tiff, ou PNG) peuvent être représentés sous forme de vignette.
Epiware offre un carnet de contacts, un agenda (permettant d’avertir par e-mail d’un événement) et un calendrier de type timeline. Gratuit pour 15 utilisateurs et deux projets, Epiware coûte 5 000 dollars (5 896 €) pour 100 utilisateurs et 100 projets. Il fonctionne uniquement avec Linux et il est possible de le tester en ligne, dans la limite de cinq projets de 5 Mo et cinq utilisateurs.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


PIERRE BERLEMONT