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En vitrine : Goupil, la micro à la française

SMT tient les clés du succès. Alors, cocorico ?

Conçu dans les clubs d’utilisateurs Microtel, le Goupil a été montré pour la première fois au Sicob de 1979. L’accueil a été tel, qu’il a fallu fonder une société pour le commercialiser : SMT. Depuis, son succès ne s’est pas démenti. De 2,3 millions de francs en 1980, le chiffre d’affaires de SMT est passé à 24 millions l’année dernière, pour un effectif de 40 personnes et 2 000 micros vendus. SMT compte sur un chiffre d’affaires de 75 millions de francs en 1982 et de 150 millions en 1983, avec des projections de ventes portées à 20 000 équipements à l’horizon 1985. Un objectif réalisable, surtout si, comme l’appelle de ses v?”ux Jean-Claude Bérard, PDG de la société Microfrance (distributeur Goupil et actionnaire de SMT) “les Français achetaient français !”. D’autant que la nouvelle version Goupil 2 dispose datouts, tant en termes de logiciels que de télécommunications. Le Goupil profite des nombreux programmes écrits en français, pour des Français, au sein des clubs Microtel. Par ailleurs, la DGT vient de retenir le Goupil 2 comme ordinateur destiné à assurer le service de terminaux télématiques Videotex au niveau du quartier.

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La rédaction