- Des bonus pour vos jeux
- Red Dead Redemption : Undead Nightmare – Rockstar : téléscopage réussi
- Assassin’s Creed Brotherhood : La disparition de Da Vinci – Ubisoft : riche et puissant
- Mass Effect 2 : Le collecteur des ombres – EA : ça secoue !
- Call of Duty Black Ops : Escalation – Activision : zombies et VIP
- Castlevania Lords of Shadows : Reverie – Konami : vampirisme
En anglais, DLC signifie Down Loadable Content, c’est-à-dire contenus téléchargeables. Ceux-ci prennent la forme de chapitres supplémentaires, de personnages ou d’armes spéciales, de cartes pour les parties multijoueurs, voire même d’épilogues alternatifs.Nés avec les consoles de dernière génération, capables de se connecter à Internet, tous ces contenus se récupèrent sur les services tels que le Xbox Live ou le PSN pour la PS3.Rarement gratuites, ces extensions permettent de rentabiliser le développement d’un jeu : le moteur graphique et la plupart des mécanismes sont déjà présents. Une équipe réduite peut donc, en peu de temps, offrir du contenu en plus. C’est aussi un moyen de fidéliser les joueurs pour empêcher la revente du jeu et tarir le marché de l’occasion, considéré par les éditeurs comme un manque à gagner. Les jeux musicaux de karaoké ou de rythme ont popularisé le système, l’achat de chansons à 1 ou 2 euros décuple la durée de vie de ces jeux. A titre d’exemple, Rock Band propose aujourd’hui plus de 2 000 titres sur son Rock Band Store.Revers de la médaille : certains éditeurs livrent des titres manquant de finition et offrant un contenu minimal. Le procédé pourrait se justifier si les jeux incriminés étaient vendus moins chers. Il demeure que les DLC couplés à un jeu acheté d’occasion, donc à petit prix, offrent une expérience riche et intense, à l’image de cette sélection.
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