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Ceyoniq libère les applications Domino/Notes

Avec une douzaine de briques fonctionnelles, la solution de gestion documentaire de Ceyoniq complète les infrastructures Domino/Notes, tout en les soulageant.

L’éditeur allemand Ceyoniq est discret sur le marché français, où il est implanté depuis moins d’un an. Bien qu’il se définisse comme éditeur de solutions de gestion de contenu, Ceyoniq se concentre sur trois composantes de la gestion documentaire : la gestion de flux, la gestion électronique des documents (GED) et l’archivage, son c?”ur de métier historique.Son offre se compose d’un patchwork de modules fonctionnels, qui viennent se greffer sur le moteur d’archivage Ceyoniq Server. Après avoir développé des connecteurs pour quelques applications phares du marché ( MySap.com, Oracle Applications, Exchange, etc.), il édite une version de sa solution pour Domino/Notes.Ceyoniq Link for Lotus Notes vise à coupler le serveur Ceyoniq Server et Lotus Domino. “Ce premier niveau d’intégration suffit à libérer le système d’information de l’entreprise, affirme Fabien Hyon, directeur de Ceyoniq France. Ceyoniq Server peut, par exemple, prendre en charge les documents joints aux e-mails et les archiver pour soulager les bases Notes, tout en conservant les documents dans de meilleures conditions.”

Le choix de l’interface client

Comme le reconnaît l’éditeur, Ceyoniq Link for Lotus Notes est avant tout une pirouette marketing : quitte à débourser 30 000 ? pour intégrer un moteur d’archivage, autant y ajouter quelques modules optionnels et fédérer ses gestions documentaires. Les entreprises sont donc invitées à piocher dans la palette fonctionnelle de l’offre globale Ceyoniq Solutions for Lotus Notes pour compléter le serveur Ceyoniq avec ici un serveur Cold (archivage sur CD-ROM), là un moteur de workflow (Notes étant alors utilisé comme média), ou bien encore un gestionnaire de processus, etc.Certains modules sont orientés client : l’entreprise utilisatrice choisira parmi des interfaces de type Windows, HTML ou Portal. Cette dernière interface, accessible depuis un intranet, fédère en son sein plusieurs tâches liées à la gestion documentaire. L’interface HTML sera en revanche réservée à une tâche unique, comme la numérisation des documents, par exemple.

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Julie de Meslon