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Business en bref

Pétition pour légaliser le peer-to-peer – Les FAI australiens mis devant leurs responsabilités – L’anti-espion de Microsoft allergique aux portails hollandais…

Pétition pour légaliser le peer-to-peer

Une fois de plus, la Spedidam, société de gestion de droits d’artistes interprètes, prend position contre la stratégie judiciaire de l’industrie du disque face aux utilisateurs de peer-to-peer. Elle lance cette fois
une pétition demandant officiellement ‘ un dispositif législatif qui aboutisse à un libre accès des internautes au peer-to-peer ‘. Les artistes seraient rémunérés par le biais d’une perception, d’un
maximum de 10 euros par mois, sur un abonnement à haut-débit. Il s’agit en fait du système de la licence légale, défendu aussi par l’Adami.

Les FAI australiens mis devant leurs responsabilités

Les fournisseurs d’accès Internet et les hébergeurs australiens risquent jusqu’à 55 000 dollars australiens d’amende en cas de contenus pédo-pornographiques non signalés à la police fédérale. Une nouvelle loi, qui entrera en
vigueur lundi 28 févirer, impose un tel signalement dès que les prestataires ont connaissance de la présence de ce type de contenu sur leurs services. Le même texte prévoit la même responsabilité pour les particuliers. Ils risquent jusqu’à
11 000 dollars australiens d’amende.

L’anti-espion de Microsoft allergique aux portails hollandais

Le 6 janvier, l’éditeur mettait à disposition des utilisateurs une version bêta de son antispyware. Avec, pour conséquence inattendue selon The Register, de bloquer l’accès à un des principaux portails néerlandais dont le contenu
était jugé dangereux par le logiciel. Ainsi, un internaute désireux d’utiliser Starpagina comme sa page d’accueil se voyait obligé d’utiliser MSN.com. Depuis, le bug a été corrigé et Microsoft a présenté ses excuses à l’éditeur du portail
hollandais.

Les opérateurs mobiles virtuels en visite au ministère de l’Industrie

Patrick Devedjian réunissait ce mercredi 23 février ‘ les opérateurs alternatifs du marché français de la téléphonie mobile ‘, c’est-à-dire les opérateurs sans réseau. La France compte déjà Debitel, Breizh
Mobile, Transatel et Futur Telecom, auxquels s’ajouteront bientôt NRJ et M6. A la réunion du jour se joignaient également des acteurs intéressés par le dossier, comme Tele2, neuf telecom et AOL. Le ministre souhaitait les réunir
‘ afin de faire le point sur le développement des activités des opérateurs mobiles alternatifs en France ‘ et discuter ‘ de mesures concrètes qui permettraient une plus grande
dynamique concurrentielle, en particulier la possibilité donnée au consommateur de changer plus facilement d’opérateur ‘.
LART vient de rendre son analyse du marché de gros des mobiles, dans laquelle elle conclut que
les opérateurs virtuels ne sont pas suffisamment puissants et ne remettent donc pas en cause la position dominante conjointe exercée par Orange, SFR et Bouygues Telecom.

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La rédaction