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4e : Autoscript 1. 0

Minimaliste, Autoscript s’en tient à une poignée de fonctions. S’il est impossible de réaliser des macros complexes, quelques secondes suffisent en revanche pour en créer une…

Minimaliste, Autoscript s’en tient à une poignée de fonctions. S’il est impossible de réaliser des macros complexes, quelques secondes suffisent en revanche pour en créer une simple et la placer sur le bureau de Windows où elle apparaîtra sous la forme d’une icône (que l’on pourra exécuter même si Autoscript n’est pas lancé, et même transporter sur un autre ordinateur). Le principal défaut d’Autoscript est qu’il ne peut interagir qu’avec Windows. Pas question, par exemple, d’agir à l’intérieur d’un logiciel pour automatiser des réglages dans des sous-menus. Une macro peut cependant lancer et fermer un logiciel, éteindre l’ordinateur, se connecter à une page Web et même, bizarrement, ouvrir le tiroir du lecteur de CD !
L’avis de la rédaction

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Jean-Luc Goudet