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2Be-fficient supervise la qualité de service des sites

En simulant des transactions sur les sites web, l’outil de test et d’analyse décisionnelle de 2Be-fficient jauge continuellement leur qualité de service.

C’est auréolée du soutien de l’Anvar, entrée à son capital, que la société 2Be-fficient applique sa technologie à la mesure qualitative de sites web ou d’extranets. Son approche se distingue des Keynote, Mercury et autres Witbe, surtout focalisés sur la mesure de performances et l’identification de dysfonctionnements techniques : ” Notre service s’adresse aux directions générales ou “métier”, qui ont besoin de savoir si la qualité de service, telle qu’elle peut être perçue par les internautes, est conforme à leurs objectifs “, résume Claude Cordin, directeur ligne de produits de 2Be-fficient. Première étape, il faut définir des scénarios – ou enchaînements de pages – stratégiques, correspondant à une ou plusieurs transactions sur le site : passer un ordre de Bourse, demander une information… Reste à identifier les attentes qualitatives de l’entreprise (seuil au-delà duquel la QoS est inacceptable, équilibre entre ce seuil et l’investissement nécessaire, etc.), qui seront croisées avec des critères tels que l’aboutissement ou non de la transaction, le temps de transaction, la régularité du service, etc. Des robots jouent automatiquement les scénarios toutes les 5 à 20 minutes en simulant des utilisateurs équipés d’Explorer et connectés en bas débit, une configuration malheureusement unique.Les résultats sont présentés dans des tableaux de bord envoyés quotidiennement (des alertes peuvent aussi être émises vers les équipes opérationnelles), ainsi que des synthèses archivées sur l’extranet de 2Be-fficient.

Une analyse des étapes de la transaction

Une première série de rapports indique si les objectifs ont été atteints ou non, tandis que d’autres affinent l’analyse des résultats, notamment les étapes de la transaction les plus sujettes aux échecs. Les dysfonctionnements sous-jacents ne sont pas pour autant désignés : l’entreprise doit les identifier elle-même à partir de ces précieuses indications. Mais à l’usage, les tableaux permettent de distinguer rapidement s’il s’agit de problèmes techniques ou ergonomiques.

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Julie de Meslon