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XKMS échange les clés de chiffrement avec les sites marchands.

XKMS s’attaque à l’interopérabilité des signatures électroniques et des clés de chiffrement entre sites marchands. Développé par Verisign, Microsoft et Webmethods, XKMS complète idéalement S2ML en matière de droits d’accès et XML Pay pour le paiement, deux autres langages codéveloppés par Verisign.

XKMS
(XML Key Management Specification) complète la boîte à outils XML sécurisée que Verisign a codéveloppé aux côtés de Microsoft ?” qui entend l’adopter pour sa plate-forme.Net ?”, et de Webmethods, qui a planché sur la partie interopérabilité.XKMS complète une panoplie XML sécurisée que Verisign a également contribué à créer : S2ML (Security Services Markup Language) tout d’abord, développé avec Netegrity, un dialecte qui permet l’interopérabilité de toutes les données liées aux droits d’accès d’un internaute (login, mot de passe). XML Pay ensuite ?” un langage conçu entre autres aux côtés d’Ariba ?” capable d’échanger, au moyen des DTD spécifiques, les composantes d’un paiement sécurisée entre différents sites.XKMS supporte sur les standards Web Services Description Language (WSDL) ?” développés par IBM et Microsoft ?”, et Simple Object Access Protocol (SOAP), un protocole XML développé par Microsoft, Userland et Developmentor.Ces deux dernières spécifications servent, d’une part à récupérer la carte d’identité d’un site Web (nom, services…) et, d’autre part, à déclencher l’appel distant d’une application sur un site Web.Les trois partenaires ont indiqué leur intention de soumettre XKMS aux instituts de normalisation ”
appropriés “. RosettaNet ou le W3C ? Difficile à dire, tant il est vrai que les deux sont aptes à délivrer un cachet de conformité XML.

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Francisco Villacampa