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Les critères

1. La prise en mainLes éditeurs HTML sont souvent dotés d’assistants et d’outils d’aide à la création (barres d’outils flottantes, composants dont le comportement a été…

1. La prise en main

Les éditeurs HTML sont souvent dotés d’assistants et d’outils d’aide à la création (barres d’outils flottantes, composants dont le comportement a été défini, etc.). Mais encore faut-il pouvoir les utiliser simplement et trouver rapidement celui dont on a besoin. L’interface de travail doit donc être intuitive, ce qui n’est pas toujours pris en compte par les éditeurs…

2. À La gestion du Dynamic HTML

De nouveaux langages de programmation interactive ont vu le jour. Actuellement, la solution la plus répandue pour apporter de l’interactivité à un site consiste à développer du code Java, qui s’exécute directement sur le poste du client. D’aucuns ont également adopté ActiveX. Les éditeurs HTML doivent donc prendre en compte ces langages et fournir des bibliothèques d’objets écrits en JavaScript.

3. L’insertion de documents multimédias

Les sites internet se sont considérablement enrichis. Aujourd’hui, les concepteurs doivent être en mesure d’insérer très simplement des documents texte et multimédias (sons, images, vidéos, etc.), ainsi que des composants dynamiques. Les outils de développement HTML disposent donc de nombreuses fonctions à cet effet. Sans surprise, les 2 éditeurs spécialisés dans la création de documents et d’animations graphiques se révèlent supérieurs, tant en insertion de document qu’en conception.

4. La publication

Exigeants, les internautes veulent des sites irréprochables quant à la validité des liens. Mais la gestion de ces derniers risque rapidement de tourner au cauchemar si le concepteur ne dispose pas d’outils adéquats. Certains logiciels offrent donc de telles fonctions, opérationnelles grâce au protocole WebDav.

5. Les outils de productivité

Les outils de développement HTML n’échappent pas à la règle imposée, à savoir la productivité. Pour cela, les modèles ou les composants prédéfinis ne suffisent plus. Les concepteurs de sites doivent pouvoir les personnaliser simplement. Idéalement, il faut que les modifications soient répercutées sur toutes les pages utilisant le même modèle. Il est même possible de définir des zones éditables spécifiques dans les modèles.

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Xavier Bouchet