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CCMX Business se met à la portée des PME

À la fois généraliste et paramétrable, ce progiciel de gestion intégré s’adapte à tout type de production. Il utilise couramment Internet, les outils de bureautique et de messagerie.

CCMX Business de CCMX est un PGI qui vient remplacer CCMX Entreprise, commercialisé en 1993 et installé dans plus de 600 entreprises. Ce tout nouveau produit, écrit avec l’atelier de génie logiciel (AGL) OTTOOLS, de la société CCS, dans le cadre d’un projet européen, s’adresse aux PME réalisant entre 50 millions et 1 milliard de francs et s’adapte à tout type de production (assemblage, en série, à l’affaire). Compte tenu de la richesse de chaque module, notre test a porté sur la consultation d’une commande.
Baptisé Explorateur d’applications, l’écran de travail affiche un menu arborescent, contenant entre autres les trois grands domaines traités : Finance, Gestion et Production. Les sous-menus correspondants, sous forme d’icônes, affichent ensuite des écrans successifs. À tout moment, il est possible de faire appel aux outils de bureautique et de messagerie (Word, Excel, Exchange, Outlook) encapsulés dans le PGI. Lors de la consultation de la commande, la fiche présente tous les renseignements liés à cette commande, comme l’état d’avancement ou, éventuellement, l’ordre de fabrication joint, le détail de chaque information étant fourni par des écrans en cascade. La navigation entre les différents écrans ne présente aucune difficulté, et l’intégration entre les divers modules (Finance, Gestion, Production) est tout à fait transparente. CCMX Business présente aussi l’avantage de permettre la communication avec un client ou un fournisseur par Internet, et notamment par courrier électronique.

Une formation pour maîtriser le progiciel

En parcourant les menus, on découvre les nombreuses possibilités de paramétrage du progiciel (explorateur, écrans de saisie, états de sortie). À un niveau supérieur, CCMX Business est équipé d’un véritable outil de développement (les formulaires) permettant à l’entreprise de faire évoluer le logiciel de façon quasi autonome.
La richesse fonctionnelle de l’ensemble ainsi que le découpage des différentes opérations, dont la logique n’est pas toujours celle qu’on attend, font que l’apprentissage et, surtout, la maîtrise d’un tel progiciel ne sont pas immédiats. L’éditeur propose donc en option dix jours de formation pour un administrateur et près de trente jours pour un utilisateur.

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THIERRY COURTOIS