Passer au contenu

Les logiciels photo gratuits

Photoshop Elements, Paint Shop Pro, PhotoImpact ou Microsoft Photo, c’est très bien, mais c’est payant ! Face à ces ténors de la retouche photo, on trouve des dizaines de logiciels gratuits aux performances parfois étonnantes. Dans bien des cas, ils compléteront ou remplaceront efficacement les logiciels commerciaux. Voici donc une large palette de ces outils gratuits !

Nous ne nous intéressons ici qu’aux logiciels gratuits (appelés également freewares ou gratuiciels). Les logiciels sharewares, eux aussi diffusés sous la forme de fichiers à télécharger, mais qui sont payants, sont donc exclus. L’offre étant pléthorique, nous limiterons, dans un premier temps, notre panorama aux logiciels pour Windows que nous qualifierons de ‘ généralistes ‘, dans la mesure où ils sont capables de réaliser la plupart des traitements de base à partir d’une photo numérique. Dans une seconde partie, nous nous intéresserons aux logiciels spécialisés qui n’assument qu’une seule fonction précise (traitement du bruit électronique, etc.).Pendant longtemps, le logiciel gratuit a été le fait d’une ‘ communauté ‘ de développeurs en marge des éditeurs de logiciels commerciaux. Le développement de l’accès Internet à haut débit a popularisé et facilité l’accès au téléchargement à tel point qu’aujourd’hui, des entreprises commerciales recourent également à ce mode de diffusion pour certains de leurs produits. Ne nous y trompons pas, lorsqu’un éditeur commercial propose gratuitement en téléchargement un de ses logiciels, il s’agit en général (mais pas toujours) d’une version allégée, le but de l’opération étant de se faire de la publicité. Cela dit, lorsque la publicité profite aux consommateurs que nous sommes, nous ne pouvons qu’applaudir. Ainsi, Adobe a complété par le bas sa gamme Photo?” shop, Photoshop Elements, Photoshop Album, par un Adobe Photoshop Album Edition Découverte.Également appelé Photoshop Album Starter Edition (ou SE), il est gratuit, facile d’emploi et répond finalement aux besoins essentiels du photographe numérique amateur. Dans le même esprit, Google propose l’excellent logiciel Picasa, et Nero son PhotoShow Express qui, comme le gratuit d’Adobe, cataloguent et corrigent vos photos gratuitement.

Où les trouver ?

Les logiciels que nous présentons dans ce dossier sont téléchargeables depuis le site de leur éditeur ou de leur développeur. Mais il y a un moyen plus rapide : ils sont disponibles en téléchargement gratuit depuis le site 01net.com et, plus précisément, dans sa section //www.01net.com/telecharger/windows/Multimedia/photo_numerique/

Que peut-on en attendre ?

Acheter Corel Paint Shop Pro ou Adobe Photoshop Elements, c’est acquérir un logiciel réputé, complet et, a priori, sans mauvaise surprise. Dans le monde du gratuit, les choses sont différentes, il ne faut pas se laisser duper par les étiquettes. Par exemple, rien ne garantit que le filtre baptisé Aquarelle d’un logiciel gratuit soit l’équivalent du filtre éponyme d’un logiciel Adobe, Corel ou Microsoft.Il convient donc de tester soigneusement chacun de ces logiciels gratuits avant d’en adopter définitivement un. C’est ce que nous avons fait pour vous ! En photo comme dans d’autres domaines, le logiciel gratuit est un monde de surprises, bonnes et mauvaises, quant aux fonctions et aux performances.

Google, Adobe et Nero : trois poids lourds dans la bataille

Le monde du logiciel gratuit est aujourd’hui animé tant par les développeurs désintéressés (logiciel libre, open source, etc.) que par des entreprises commerciales qui offrent ainsi un peu de leur technologie tout en nous invitant, avec plus ou moins d’insistance, à acquérir leurs produits commerciaux.On retrouve donc sous la bannière ‘ gratuit ‘ de charmantes réalisations fleurant bon le bricolage à côté de solides logiciels à l’interface léchée. Dans cette seconde catégorie, Google, Adobe et Nero sont en première ligne. PhotoShow Express, de l’éditeur Nero, appartient à la seconde catégorie et c’est avant tout un logiciel bridé. Les fonctions de correction (yeux rouges, recadrage, etc.) sont accessibles avec cette version gratuite, mais les fonctions de retouche se contentent d’annoncer qu’elles ne sont disponibles que dans la version commerciale du logiciel. Les nombreux filtres (effets spéciaux), non paramétrables, n’offrent qu’un rendu moyen. Cette absence de paramétrages est une caractéristique commune à de nombreux logiciels gratuits (c’est un moyen pratique de brider la version gratuite), défaut dont souffriront les utilisateurs habitués à des logiciels plus performants.

Essayer, est-ce adopter ?

Avec tous les logiciels de retouche et de correction, la règle veut que seules des copies de vos images originales soient traitées. En cas de déception, il vous suffit donc de changer de logiciel et de travailler avec une nouvelle copie de votre image originale. On conçoit en outre que ce genre de logiciel puisse n’être utilisé que sporadiquement afin de profiter de l’une de ses fonctions originales.Il en va tout autrement, en revanche, pour les logiciels de catalogage. En effet, ces logiciels sont destinés à être utilisés aussi longtemps que vous pratiquerez la photo numérique ! Il est donc essentiel de vous assurer de la pérennité du catalogue que vous allez organiser avec un tel logiciel. La pérennité et la réputation de l’éditeur, ou du groupe chargé du développement du freeware, sont donc des facteurs essentiels. Il faut en outre envisager la possibilité de récupérer le catalogue avec un autre logiciel et la faculté de faire migrer en bloc les fichiers des photos vers un autre disque car cela sera nécessaire lorsque vous remplacerez votre ordinateur. Fort de ces préoccupations, vous serez sensible à la possibilité de récupérer le catalogue Photoshop Album SE avec la version commerciale de ce logiciel. Dans ce cas, c’est la pérennité d’Adobe qui rassure.

Constituer son catalogue

Toutes les données relatives aux photos accessibles depuis un logiciel de catalogage sont rassemblées dans un fichier particulier appelé ‘ catalogue ‘. Selon le logiciel, les photos ajoutées au catalogue peuvent être réparties entre différents albums et être complétées par diverses descriptions.Picasa et Photoshop Album SE sont l’un et l’autre capables d’ajouter automatiquement à leurs catalogues l’ensemble des photos disponibles sur votre ordinateur, qu’elles se trouvent dans votre dossier Mes Images, ou pas. Ensuite, la plupart des catalogueurs sont capables de récupérer le contenu d’un appareil photo numérique connecté.

Décrire ses photos

Le catalogue, c’est-à-dire l’ensemble des photos connues par le logiciel de catalogage, peut être classé à l’aide de dossiers généralement appelés albums. Picasa crée un nouvel album lors de chaque importation depuis un appareil photo, album que vous serez libre de nommer. L’ajout de remarques et d’étiquettes aux photos sera plus facile avec Photoshop Album SE qu’avec Picasa, qui permet l’association de mots-clés aux photos, mais incite plutôt à disposer une même description à toutes les images d’un dossier (ou d’un album) sans qu’il soit possible d’ajouter à la photo toutes les légendes souhaitables (sujet, lieu, événement, etc.), comme ce serait le cas avec un catalogueur commercial tel que Microsoft Expression Media (anciennement, iView MediaPro http://www.iview-multimedia.com). Toujours à propos de la description des photos, c’est Nero PhotoShow Express qui se distingue en permettant de repérer les photos par personnes, par lieux, etc.Quant à Photo Basic, les connaisseurs apprécieront qu’il sache accéder aux descripteurs IPTC (catégorie, mots-clés, pays, ville, etc.).

Déplacer ses photos

Quand il s’agira d’extraire une photo du catalogue (accès au fichier de la photo), l’opération sera plus aisée depuis Picasa que depuis Photoshop Album SE. Avec Picasa, les images cataloguées passent facilement d’un dossier à l’autre (Fichier/ Déplacer vers un nouveau dossier), ce qui permet notamment de déplacer ses photos vers un disque dur externe, sauvegarde que vous apprécierez lors du crash de votre partition Windows ou, plus simplement, à l’occasion du renouvellement de votre ordinateur. Picasa et Photoshop Album SE facilitent la recherche chronologique des images grâce à leur chronologie (time line). Il est ainsi très facile de retrouver toutes les photos datant de juillet dernier, sans se soucier de mots-clés ou d’autres critères de recherche. Souffrant d’un aspect moins fun que les catalogueurs gratuits d’Adobe, Google et Nero, Photo Basic mérite néanmoins votre attention car il permet notamment de choisir, lors de la constitution du catalogue, entre la mémorisation des chemins d’accès et la duplication dans un emplacement spécifique des photos cataloguées. Un peu lent, souffrant d’une interface touffue, mais néanmoins assez complet, Photo Basic propose de créer un fichier pour chaque calque d’une image PSD importée.Cette caractéristique doit vous inciter à consulter avec attention les formats de fichiers supportés par votre catalogueur car si tous supportent le JPeg, il est bon qu’ils acceptent aussi sans sourciller tous les formats courants (Tiff, PNG, etc.), mais aussi les formats propriétaires (PSP, PSD, etc.) utilisés pour l’enregistrement des versions de travail de vos montages photo. Soyez également attentif à la prise en charge du Raw de votre appareil photo.

Commander des tirages ? Oui, mais à qui ?

Commander des tirages sur ‘ vrai papier photo ‘ à un site web spécialisé sans quitter son logiciel de catalogage est bien sûr un gage de confort, mais qu’en est-il de la liberté de choix de l’utilisateur quant au prestataire retenu ?Dans le cas de Home Picture Service, les choses sont claires car ce sympathique logiciel de retouche et de catalogage est conçu pour diriger les commandes uniquement vers le site de son éditeur Pixiphot. En revanche, on comprend moins bien que Photoshop Album SE nous impose de commander nos tirages chez Kodak, alors que Picasa nous laisse le choix entre une dizaine de prestataires (ce qui est d’ailleurs loin de représenter l’ensemble des sites de tirage en ligne !).

Des images pour Internet : envoi par e-mail, galerie web et blog

La plupart des catalogueurs savent associer les images sélectionnées à un message e-mail en tant que pièce jointe ou en l’intégrant au corps de l’e-mail après avoir adapté la définition et le format d’enregistrement. La réalisation de galeries accessibles depuis le web est également possible.Vous serez aiguillé vers Blogger par Picasa, alors que Photoshop Album SE vous mènera sur Kodak EasyShare Gallery… d’où il est facile de commander des tirages à un labo Kodak !

Diaporamas, cartes de v?”ux et montage de base

Tant avec Picasa qu’avec Photoshop Album SE, il est très facile de réaliser des pêle-mêle, des car tes de v?”ux, voire des diaporamas (par exemple, Création/Montage photo avec Picasa). L’impression des photos est pour sa part facilitée par tous les logiciels de catalogage. La création d’économiseurs d’écran à partir de vos photos est également possible avec certains catalogueurs, par exemple PhotoShow Express.

Retoucher, corriger ou monter vos photos avec des logiciels gratuits

Vos élans créatifs seront rapidement bridés par les quelques fonctions offertes par les catalogueurs. Vous vous tournerez donc rapidement vers les logiciels capables de modifier davantage vos images. Parmi eux, il y a surtout The Gimp. Bien que pâtissant d’une interface démodée (style Windows 3) et d’une ergonomie discutable, ce logiciel compte parmi les logiciels gratuits de traitement des images bitmap les plus puissants. The Gimp ouvre de nombreux formats (dont les PSD et PSP de Photoshop et de Paint Shop Pro), dispose d’un vaste éventail de fonctions et de réglages et, sur tout, chose rare en freeware, traite les calques et les couches (ou composantes). Toutefois, il ne traite pas le CMJN (Photoshop Elements non plus) et en reste donc au RVB. Dans sa version pack, The Gimp est complété par une fonction anti-yeux rouges et profite d’une installation et d’une interface améliorées.

Et pour ceux qui créent à partir des calques…

Facile à prendre en mains, Paint. Net propose les outils usuels (sélection, tampon, titrage, gomme, etc.) et les filtres habituels (flou, netteté, anti-yeux rouges, etc.). Il supporte en outre les calques et l’annulation illimitée des modifications précédentes. Pixia reconnaît également les calques et traite les couches (de façon limitée). Sa grande richesse fonctionnelle est nuancée par l’absence de paramétrage de ses filtres. Comme beaucoup de ses homologues, PortablePaint. Net a été développé pour combler les lacunes de Paint (le logiciel bitmap livré avec Windows). PortablePaint. Net dispose de caractéristiques rares parmi les freewares car, s’il gère les calques, il considère également leur transparence et dispose de son propre format d’enregistrement (PDN) pour conserver un montage en cours avec tous ses attributs. Vous remarquerez également son outil de dessin fondé sur des courbes de Bézier, son effet peinture à l’huile ou son historique d’annulations illimitées.

Les limites des logiciels gratuits

Au premier abord, lorsque l’on effectue le bilan, les logiciels gratuits apparaissent moins performants que leurs homologues commerciaux qui non seulement font valoir leur richesse fonctionnelle comme argument commercial, mais qui ont surtout les moyens de leur développement. En pratique, cette différence est à moduler. Alors que les logiciels commerciaux se veulent complets, les gratuits couvrent souvent un champ plus restreint et, pour disposer de l’ensemble des fonctions souhaitées (par exemple, des filtres artistiques valables et une gestion des calques), il vous faudra faire appel couramment à plusieurs logiciels. Après tout, puisqu’ils sont gratuits, cela n’est pas une contrainte énorme. Le seul problème que cela puisse poser est l’éventuelle disparité des interfaces.Enfin, soyez attentif aux formats d’enregistrement supportés par les logiciels (par exemple, tous n’acceptent pas le Tiff, pourtant courant…). Parce qu’ils ne sont pas, a priori, destinés aux professionnels, les freewares n’acceptent généralement ni les images CMJN, ni les images 16 bits/couche.

Les mille pépites du logiciel gratuit

Complétant les logiciels gratuits chargés du catalogage, de la correction ou de la retouche de nos photos, il existe une multitude de freewares chargés de répondre à des besoins plus spécifiques. Il s’agit souvent de logiciels n’assurant qu’une seule fonction – mais originale – qui n’a souvent pas d’équivalent avec celles des logiciels commerciaux. Plongeons donc dans une incroyable boîte à outils. Complétant les logiciels ‘ généralistes ‘ destinés au catalogage, à la retouche et à la correction des photos, il existe des logiciels plus spécialisés destinés à n’assurer qu’une fonction précise. Ainsi, si vous prenez vos photos en Raw, leur ‘ développement ‘ numérique pourra être assuré par Raw?”Shooter Essentials (dont l’éditeur Pixmantec a récemment été repris par Adobe). Pour des traitements plus communs, ColorCastFX ajuste la température des couleurs, BatchAutoCorrector corrige les niveaux, les couleurs et la luminosité en un clic, tandis que RGB Lights permet de composer une image à partir de trois autres respectivement perçues comme les composantes rouge, vert et bleu de l’image résultante. NDNoise réduit le bruit dont souffrent les images numériques. À cette fonction, Digital Camera Enhancer ajoute la correction de la balance des blancs et l’ajustement des tons moyens. Enfin, si seules les photos sépia ou en noir et blanc vous intéressent, vous ferez appel aux spécialistes B/Works ou Vampix.

Accès aux données Exif et IPTC

Toutes les données techniques d’une photo liées à sa prise de vue (appareil utilisé, vitesse d’obturation, focale, date et heure, etc.) constituent les données Exif associées à chaque image enregistrée par un appareil photo numérique. À ces informations renseignées automatiquement par l’appareil photo s’ajoutent les descripteurs IPTC que l’utilisateur doit saisir lui-même. Exif-o-matic, ExifRead et ExifReader donnent accès aux données Exif. Exifer y ajoute quelques fonctions de traitement des images tandis que ExifManager peut renommer les photos en fonction de leurs données Exif.

Traitement par lots

Le traitement par lots consiste à appliquer les mêmes modifications à toutes les photos présentes dans un même dossier. Cela concerne notamment les changements de définition (en vue d’une mise en ligne) et les conversions de formats, mais aussi le changement des noms des fichiers. Dans ce domaine, il existe des logiciels ultra-simples comme Namexif qui remplacent le nom d’origine par la date de prise de vue. D’autres logiciels comme Rename Picture, PixRenamer ou Crofoname vous laissent libre de composer le nom des nouveaux fichiers à partir d’un préfixe personnalisé et des données Exif des photos (date et heure de prise de vue notamment).

Modifier la définition, la résolution ou la compression des images

Les logiciels chargés de modifier les dimensions exprimées en pixels – c’est-à-dire la définition – de nos images ne se valent pas tous. En effet, certains créent un nouveau fichier alors que d’autres modifient le fichier original. Dans le même esprit, le respect des proportions et l’ajustement du taux de compression feront la différence. Assez complet, VSO Image Resizer mérite votre attention, de même que Mihov Image Resizer qui ajuste clairement le taux de compression JPeg.Resize !, PicSizer, le Convertisseur d’images par lot et Emco Photo Resizer permettent le traitement par lots, Photo Redukto est accessible par un clic du bouton droit sur une image, Miniapic brille par sa simplicité, Shrink Pic est prédisposé à la préparation des images destinées à Internet (mail, blog, web). Modilo peut, ou non, imposer une nouvelle définition aux images qu’il traite par lots et dont il modifie le format d’enregistrement, le taux de compression, le nom et auxquelles il ajoute éventuellement un filigrane.

Web

Certains logiciels se spécialisent dans la publication sur Internet. Il s’agit par exemple de Split?” Image qui découpe une image en plusieurs parties dans la perspective de son intégration à une page web, ou de PCWeb qui génère à partir de vos photos des planches-contacts au format HTML.

Carte mémoire

Art Plus Digital Photo Recovery récupère les photos sur vos cartes mémoire devenues illisibles ou effacées par mégarde. Memory Card Safe Eraser assure la fonction inverse : il garantit qu’il sera impossible de récupérer des photos depuis une carte effacée. En effet, l’effacement d’une carte à l’aide d’un appareil photo ne supprime pas les données, mais se contente de déclarer libre l’espace occupé sur la carte par les photos.

Images et textures

Avec l’Open Clipart Library Package, vous disposerez de milliers de petites images PNG utilisables sur vos pages web ou comme sources d’inspiration. La réalisation d’un panorama par juxtaposition d’images sera confiée à PanoWarp qui se chargera également de corriger les déformations liées à l’objectif de l’appareil. Harry’s Edges fournira pour l’encadrement des dizaines d’images utilisables comme cadres à l’aide d’un quelconque logiciel de traitement bitmap, freeware ou non. Dans un autre genre, Texture Processor génère des textures à partir d’une foule de paramètres. Enfin, l’ajout d’une mention à vos images sera réalisée par CopyRightLeft.

L’incomparable vivier !

Que vous soyez prêt ou non à acquérir des logiciels commerciaux, le recours au freeware est incontournable dès lors que l’on recherche le petit logiciel atypique. Dans ce domaine, ASCII Pic convertit une image en un texte dont les caractères traduisent les niveaux de gris de l’image originale. Métré sert à la prise de mesures sur l’écran, ou encore PhotoToFilm réalise des vidéos à partir de vos images. Et encore, vous n’avez eu là qu’un aperçu partiel des freewares disponibles. Vos promenades sur la toile vous en révéleront d’autres. Méfiez-vous toutefois des spywares (sortez couvert… d’un bon anti-virus, anti-spyware, anti-etc.) et de ces logiciels qui, au pire moment, vous demandent un numéro de carte bleue pour fonctionner ! En prenant quelques précautions de base, et en restant vigilant, vous trouverez mille trésors sur le web.

🔴 Pour ne manquer aucune actualité de 01net, suivez-nous sur Google Actualités et WhatsApp.


Loïc Fieux