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Avec Financial Express, Document Authority et Transaction Authority, ValiCert complète sa gamme d'outils de sécurité B to B avec une infrastructure à clé publique.
Depuis le 11 septembre, ValiCert propose aux établissements financiers une offre complémentaire pour assurer la sécurité de leurs transactions électroniques. La société américaine souhaite ainsi se positionner, dans le cadre d'une PKI (Public key infrastructure) appliquée au business to business, comme un partenaire incontournable entre les autorités de certification et les vendeurs d'applications.
Une corde de plus ajoutée à son arc
Jusqu'à présent, ValiCert assurait une triple mission. La première consistait à valider des certificats numériques émis par les différentes autorités de certification nationales (contrôle des certificats, des identifiants et des authentifiants, code PIN, mots de passe, etc.). La deuxième concerne la sécurisation de la transaction au moyen du protocole SSL (Secure socket layer), avec une clé d'une longueur de 128 bits. " Notre système est, sur ce point, très évolutif, dans la mesure où il vérifie si la transaction n'a pas été interrompue lors de la transmission. Si tel est le cas, il la reprend là où elle s'est arrêtée en contrôlant que rien n'a été oublié ", indique Auke S. de Jong, directeur de ValiCert pour l'Europe.Enfin, le système qu'il avait mis en ?"uvre permet à ValiCert de vérifier et d'archiver en lieu sûr des paramètres tels que l'heure de la transaction, son montant ou le certificat numérique émis. C'est ce que l'on regroupe sous la notion de notarisation. Cela permet d'obtenir des informations véritablement certifiées, en cas de conflit entre les parties.
Abandonner le papier au profit du tout-numérique
Désormais, les deux nouveaux produits, inclus dans l'offre Financial Express, viennent compléter ce dispositif. " Notre idée consiste à accroître le volume des transactions électroniques B to B d'une entreprise, en les accompagnant d'une réduction des coûts, notamment du papier, et d'un bon niveau de sécurité ", résume Auke S. de Jong.Document Authority se présente comme une solution de sécurisation de stockage des données Internet. Elle permet de les partager au sein de l'entreprise, en assurant leur intégrité et en gérant au quotidien les reçus numériques et des signatures électroniques des documents archivés. " Bien que ce ne soit pas une solution de gestion électronique des documents, à proprement parler, Document Authority s'adapte parfaitement à un environnement de workflow. Elle a en plus d'être totalement sécurisée ", rappelle-t-il.Transaction Authority s'appuie sur les standards du marché (protocole X.509 pour la PKI, faible encombrement mémoire pour répondre aux exigences d'Identrus avec lequel il est entièrement compatible, etc.). Dans le cadre d'une relation B to B, il a pour fonction de garantir le routage sécurisé d'une requête et de sa réponse, qu'elle émane d'un fournisseur ou d'un client.Le prix de l'offre dépend d'une licence équivalente à un droit d'entrée qui n'a pas été communiqué, et du nombre de transactions sécurisées effectuées.
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