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Soamaï mise sur l’agrégation de services

Le jeune éditeur français prône la réutilisation par invocation de composants logiciels.

Le véritable intérêt des architectures orientées services réside dans la possibilité de réutiliser les ressources logicielles existantes. Encore faut-il pouvoir les identifier. Fort du constat qu’une forte proportion, jusqu’à 70 %, des éléments d’une application existent le plus souvent déjà dans l’entreprise, Soamaï se propose de les répertorier au sein de son référentiel de services Becubic. Au c?”ur de cette application Java, l’ASR (Active Service Repository) est en charge de la découverte des ressources, sur un large éventail de plates-formes : services web, via leur description WSDL, EJB, Beans et servlets des serveurs d’applications J2EE, composants.Net, services des moniteurs transactionnels, etc. Les descriptions des composants, ainsi que l’ensemble de leurs méthodes d’invocation sont stockées dans le référentiel. Celui-ci s’appuie sur un métamodèle UML. Il est extensible et peut s’interfacer avec d’autres référentiels via UDDI ou ebXML.

Intégré dans les ateliers du marché

Une fois répertoriés, les composants doivent être assemblés. Pour cela, des interfaces permettent d’intégrer le référentiel aux principaux ateliers de développement (Jbuilder, WSAD, Eclipse, Netbeans, Rose). Dans ce cadre, Becubic sera en mesure de générer le code d’invocation des composants de la nouvelle application. Soamaï propose également un module de construction indépendant, Assembly. La version 2 de Becubic, lancée récemment, s’enrichit de la possibilité dimporter des fichiers XMI (XML Metadata Interchange).

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Philippe Davy