“Nous ne sommes plus seulement un éditeur d’outils, mais aussi un fournisseur de solutions”, lance Nicolas Baudy, directeur des services chez Progress Software France. Après l’Allemagne, la filiale française de l’éditeur américain adopte une nouvelle organisation par secteurs d’activité. Quatre divisions sectorielles sont créées : industrie, distribution, tertiaire entreprises B to B, et tertiaire grand public B to C. Une entité supplémentaire sera en charge du support aux éditeurs. Pour Progress, l’objectif majeur de cette nouvelle structure est de favoriser l’identification des meilleures solutions métier développées par ses partenaires éditeurs de progiciels d’un secteur et d’en assurer la promotion auprès de ses clients.L’Américain compte à ce jour plus de 2 000 partenaires éditeurs dans le monde, éditant plus de 5 000 applications écrites avec le L4G Progress et embarquant la base de données Progress RDBMS.
Les ventes indirectes : 60 % du chiffre d’affaires
La longévité de l’honorable technologie Progress assure à l’éditeur un matelas confortable de revenus liés à la maintenance ?” pour l’exercice annuel 2001, ceux-ci représentaient 45 % des 262 millions de dollars de chiffre d’affaires. Les ventes indirectes opérées auprès des éditeurs tiers constituent 60 % du chiffre d’affaires 2001. Après avoir accusé une baisse de ses revenus depuis 1999 (286 millions de dollars en 1999, 271 millions en 2000, et 262 millions en 2001), Progress renoue avec une croissance ?” timide ?” sur les trois premiers trimestres de lexercice 2002.
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