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Nos recommandations

Si l’entreprise souhaite mettre en place une politique de protection antivirale solide, elle doit compter sur la bonne tenue et la formation des utilisateurs, d’une part, et sur un logiciel de filtrage performant d’autre part.

1. Protection contre les e-mails entrants

Il ne s’agit pas de s’appuyer uniquement sur les capacités brutes d’un antivirus.Il convient tout dabord de s’assurer que l’outil de filtrage a décomposé les pièces jointes associées à l’e-mail. Rien n’est en effet plus simple que de dissimuler dans les pièces jointes des e-mails entrants, un virus susceptible d’endommager le système d’information de l’entreprise.

2. Contrôle et analyse des messages sortants

Surveiller les informations qui sortent de l’entreprise se révèle primordial afin d’éviter toute fuite de données confidentielles. Destinés à prévenir la divulgation des secrets d’une société, formules de fabrication ou fichiers comptables par exemple, les outils de filtrage d’e-mails disposent de fonctions d’analyse de texte qui s’appuient sur des mots ou des groupes de mots contenus dans l’en-tête, le corps ou la pièce jointe du message. Associés à des règles de tri, ces logiciels proposent différents comportements en fonction de la situation.

3. Facilité d’administration

Un déploiement simplifié constitue une bonne base pour définir les tâches à effectuer dans l’administration d’un logiciel. De même, l’interface doit être claire, de façon à faciliter la mise en ?”uvre d’un produit et son paramétrage. Enfin, l’entreprise portera une attention toute particulière à l’automatisation et à la gestion des mises à jour. Ces dernières concernent notamment la base de signatures, ainsi que les listes de termes anti-spam, des mots interdits ou des commandes scripts pour les comportements.

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Sylvain Bontoux