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Les vainqueurs : Optoma – HD67N et Infocus – IN146

Optoma – HD67N : Il a tout pour plaireUne belle image, des menus clairs, une télécommande ergonomique, une connectique complète, une compatibilité 3D assurée, une bonne…

Optoma – HD67N : Il a tout pour plaire

Une belle image, des menus clairs, une télécommande ergonomique, une connectique complète, une compatibilité 3D assurée, une bonne conception, le HD67N est une réussite.

On aime… la compatibilité 3D
Ce vidéoprojecteur est compatible avec les deux technologies 3D testées ici. Avec le convertisseur maison d’Optoma, la platine 3D XL, associé à un lecteur Blu-ray 3D LG, nous avons pu lire des films HD en relief. Avec le kit 3D Vision de nVidia, ce sont les jeux vidéo qui profitent d’une perspective saisissante. Attention, ces dispositifs sont en option.

 

On aime… l’ergonomie des menus
Les menus du HD67N sont très agréables à utiliser. Ils sont répartis en quatre grandes catégories (Image, Afficher, Réglages et Options). On peaufine ses préférences (luminosité, géométrie, etc. ) en quelques clics. L’Optoma est par ailleurs le seul à proposer une fonction de décalage vertical de la lentille.

 

On aime… le ventilateur en façade
Partant du constat qu’un vidéoprojecteur ne s’installe pas derrière le public (sauf si on peut le positionner en hauteur) – sous peine de ne voir apparaître à l’écran que sa propre ombre –, Optoma a opté pour un système de ventilation en façade, qui évite aux spectateurs du premier rang de recevoir l’air chaud en plein visage.

 

On aime… la télécommande
D’un format idéal, ni trop grosse, ni trop petite, cette télécommande offre un rétroéclairage performant et une bonne disposition des touches. Du coup, on pilote vite l’appareil avec une aisance remarquable. On regrette cependant l’absence d’une touche de réglage du volume du haut-parleur.

 

Infocus – IN146 : Grand tout simplement !

L’Infocus est un produit atypique qui en met plein la vue. Grâce à sa focale courte, il affiche des images d’une taille impressionnante. Dommage que la luminosité soit si faible.

On aime… la focale courte
Un tel vidéoprojecteur est conçu pour une installation physique différente de celle de ses concurrents. Ce produit à focale courte s’installe en effet devant les spectateurs, à seulement 1 m du support de projection. Parfait pour les espaces réduits. De plus, il affiche une bien meilleure image que celle de beaucoup de ses concurrents, plus grande de 1 m (2,4 m de diagonale).

On aime… la connectique
Ce n’est certes pas le seul vidéoprojecteur à proposer une prise casque et une entrée ligne : trois autres modèles de ce dossier en disposent. Mais cette connectique s’avère très pratique. Grâce à la sortie mini-jack, on peut écouter avec le casque ou brancher un kit d’enceintes pour remplacer avantageusement le haut-parleur intégré.

On n’aime pas… la faible luminosité
Qu’on se le dise, l’IN146 ne peut être utilisé que dans la pénombre ou, idéalement, dans le noir total. Nous avons en effet mesuré une faible luminosité de l’image lorsqu’il est placé à 1 m du mur (154 cd/m2), qui oblige dans la journée à tirer les rideaux ou à fermer les volets !

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David Nogueira (photos Olivier Cadouin)