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Le disque anglais s’attaque au direct download à travers Google

En bref. En matière de piratage sur Internet, il n’y a pas que le peer to peer. Il y a aussi, et de plus en plus, le direct download…

En matière de piratage sur Internet, il n’y a pas que le peer to peer. Il y a aussi, et de plus en plus, le direct download. Ce système de téléchargement est dans le collimateur des maisons de disques britanniques. L’antenne nationale de la Fédération internationale de l’industrie phonographique (IFPI) a écrit à Google pour lui demander de tout simplement déréférencer « dès que possible » les liens renvoyant vers des fichiers musicaux piratés.

La lettre, datée du 11 juin 2010 et publiée par le site Chilling Effects, s’accompagne d’une liste de 18 titres qui ont été trouvés par les ayants droit à la suite d’une recherche sur le moteur ainsi que le nom des labels qui en détiennent les droits. Mais elle mentionne également le libellé de 38 requêtes adressées au moteur de recherche, les adresses des liens, celles des sites mis en cause (hotfile.com, usershare.net, megaupload.com, 2shared.com, zippyshare.com, etc.). Désormais, tout le monde attend avec impatience la réponse de Google. S’il y en a une.

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Arnaud Devillard