Sous le patronage du grand maître, ce jeu s’adresse à tout amateur d’échecs. Au premier coup d’?”il, il a de quoi le séduire. Le joueur peut faire une partie en réseau sur Internet ou contre 45 adversaires
virtuels (dont, après trois victoires en championnat, Kasparov lui-même). Un système de notation, inspiré du classement des fédérations internationales, permet même de mesurer les progrès réalisés d’une partie à l’autre.Pourtant, il suffit de quelques minutes pour que cette belle façade se désagrège. Le didacticiel souffre de nombreuses erreurs de notation dans ses exercices, et les parties face à l’ordinateur, deviennent vite assez prévisibles
: à un niveau égal, tous les joueurs virtuels tendent à faire les mêmes attaques.
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